Postée dans Forum
estime de soi, couple, sentiments, mal être
Bonjour,
j'écris ici aujourd'hui parce que je fais face à des questionnements très anxiogènes, ils me rongent de l'interieure.
--- j'essaie de mettre un peu de contexte---
il y a quelques semaines de cela, j'ai été dans le fond du puits. J'ai fais face à de terribles angoisses, une peur de la mort, se révelant plutot comme une peur de vivre (assez paradoxale). j'ai pu soigner ces maux que je ressentais au plus profond de ma chaire (via de l'hypnotherapie), mais subsitent un plus tenace, et j'en suis convaincue, LE PROBLÈME principal.
Je ne m'aime pas, mon physique me déplait, et j'ai eu envers moi des mots tres blessants et sévères, je me vois dans l'incapacité d'accepter un compliment, sans penser que cela soit hypocrite ou vide de sens. Je ne me sens pas bien dans mon coprs à cause de mon surpoids. J'ai été très sportive jusqu'a un malheureux accident, voila maintenant 6 ans que je n'ai pas d'activité physique réguliere, mais ai continué de manger tout autant, par reconfort je pense.
Durant cette periode, je n'ai rien vu venir, je suis entrée dans un certain déni de mon image. J'étais la seule qui me prenais en photo, parce que selon moi, les autres n'en faisaient que des disgracieuses. Mais au fil de ces quelques mois, j'ai voulu tenter l'affaire, me laisser me prendre en photo par mon compagnon. Terrible moment lorsque j'ai vu le résultat.
Ma premiere réaction a été de rejeter la faute sur lui, de lui dire qu'il n'était pas bon et que ça n'était pas si compliqué. Lorsque je me suis entendue dire ces mots, j'ai senti que quelque chose clochait, ça n'était pas normal d'avoir ce genre de comportement, ça n'était pas sain, il n'y est pour rien, et ce que reflete l'objectif, ou ses yeux, font partie d'une réalité( qui ne coincidée pas avec la mienne), et c'est à partir de ce moment là que j'ai compris que la façon dont je pensais me voir était érronée. Je suis sortie de cette bulle de déni, qui m'occultait la montagne qu'engendré ce soucis.
Prenant ainsi conscience de ma profonde insatisfaction, de mon irritabilité vis à vis de pleins de petites choses qu'il faisait parfois de travers (je voulais que tout soit parfait puisque dans ma tete c'etait le chaos). J'ai tenu à faire mes excuses, lui dire que je devais me faire aider pour rester qqun de sain, pour lui mais surtout pour moi. Il est là, toujours à m'accompagner, à m'épauler et à tenter tout pour que ma vie soit plus légère et agréable. Il était pret a tout pour me satisfaire.
sauf qu'au fil du temps, lui demandant sans cesse de vivre pour lui, d'avoir une vie sociale, pour que l'on ai des discussions, de quoi animer des moments à deux, un sentiment opressant est né. J'avais cette impression qu'il faisait toutes ces choses pour moi, et non pour lui.
après un très éprouvant échange, il s'en ai rendu compte, nous etions à ce moment là au bord de la rupture. Je ne pouvais pas investir plus de temps à jouer un role qui n'etait pas de mon ressort, et qui me demande énormement d'energie, à savoir, etre une sorte de maman, qui guide, qui accompagne, et à la fois, une copine.
--- mes questionnements---
Apres avoir mis tout à plat, je constate des évolutions, de mon coté, comme du sien, notre relation est plus légère, moins nocives, on vit pour soi. Nous parlons sans chichi, il essaie toujours de me faire rire et il vit pour lui.
J'ai conscience que mon mal etre physique aspire à et nourrit mon manque de motivation/volonté et impacte ma vie sociale.
Mais si avant j'avais peur d'etre seule, aujourd'hui, j'ai envie de m'isoler, de mes amis, de mon compagnon.
je ressens un malaise lorsque je suis avec eux, et bien plus présent, sans etre handicapant, lorsque je suis avec mon compagnon.
ce que je ressens ? et bien, rien, je ne sais pas ce que je ressens, aucune chose significative. Je ne doute pas de son amour, or moi, je doute du miens, et je veux etre la plus juste possible avec lui, tant c'est un etre que j'estime et que j'affectionne. On me dit que l'amour évolue, fluctue, qu'on peut ressentir plus ou moins des sentiments forts, qu'ils sont différents de l'amour passion du début. mais je ne sais pas si je fais face à ça parce que je ne m'aime plus assez pour l'aimer.
ou alors, j'ai été bléssé et dégouté de l'amour puisqu'il n'a pas été totalemnt sain ces derniers temps.
j'aime passer du temps avec lui, je suis dans un confort, je peux parler de tout, j'aime etre contre lui lorsque je m'endors.
j'aime qu'il me connaisse et me décrypte et surtout, je n'ai pas l'impression de lui dire des je t'aime vides de sens.
Et je veux etre juste envers lui, savoir si, cette periode que je traverse ne resulte que de souci d'amour de soi que je prends en charge par des pro du sport et de la nutrition, ou simplEment, parce qu'il n'est devenu que mon meilleur ami.
bien à vous, et belle journée.
j'écris ici aujourd'hui parce que je fais face à des questionnements très anxiogènes, ils me rongent de l'interieure.
--- j'essaie de mettre un peu de contexte---
il y a quelques semaines de cela, j'ai été dans le fond du puits. J'ai fais face à de terribles angoisses, une peur de la mort, se révelant plutot comme une peur de vivre (assez paradoxale). j'ai pu soigner ces maux que je ressentais au plus profond de ma chaire (via de l'hypnotherapie), mais subsitent un plus tenace, et j'en suis convaincue, LE PROBLÈME principal.
Je ne m'aime pas, mon physique me déplait, et j'ai eu envers moi des mots tres blessants et sévères, je me vois dans l'incapacité d'accepter un compliment, sans penser que cela soit hypocrite ou vide de sens. Je ne me sens pas bien dans mon coprs à cause de mon surpoids. J'ai été très sportive jusqu'a un malheureux accident, voila maintenant 6 ans que je n'ai pas d'activité physique réguliere, mais ai continué de manger tout autant, par reconfort je pense.
Durant cette periode, je n'ai rien vu venir, je suis entrée dans un certain déni de mon image. J'étais la seule qui me prenais en photo, parce que selon moi, les autres n'en faisaient que des disgracieuses. Mais au fil de ces quelques mois, j'ai voulu tenter l'affaire, me laisser me prendre en photo par mon compagnon. Terrible moment lorsque j'ai vu le résultat.
Ma premiere réaction a été de rejeter la faute sur lui, de lui dire qu'il n'était pas bon et que ça n'était pas si compliqué. Lorsque je me suis entendue dire ces mots, j'ai senti que quelque chose clochait, ça n'était pas normal d'avoir ce genre de comportement, ça n'était pas sain, il n'y est pour rien, et ce que reflete l'objectif, ou ses yeux, font partie d'une réalité( qui ne coincidée pas avec la mienne), et c'est à partir de ce moment là que j'ai compris que la façon dont je pensais me voir était érronée. Je suis sortie de cette bulle de déni, qui m'occultait la montagne qu'engendré ce soucis.
Prenant ainsi conscience de ma profonde insatisfaction, de mon irritabilité vis à vis de pleins de petites choses qu'il faisait parfois de travers (je voulais que tout soit parfait puisque dans ma tete c'etait le chaos). J'ai tenu à faire mes excuses, lui dire que je devais me faire aider pour rester qqun de sain, pour lui mais surtout pour moi. Il est là, toujours à m'accompagner, à m'épauler et à tenter tout pour que ma vie soit plus légère et agréable. Il était pret a tout pour me satisfaire.
sauf qu'au fil du temps, lui demandant sans cesse de vivre pour lui, d'avoir une vie sociale, pour que l'on ai des discussions, de quoi animer des moments à deux, un sentiment opressant est né. J'avais cette impression qu'il faisait toutes ces choses pour moi, et non pour lui.
après un très éprouvant échange, il s'en ai rendu compte, nous etions à ce moment là au bord de la rupture. Je ne pouvais pas investir plus de temps à jouer un role qui n'etait pas de mon ressort, et qui me demande énormement d'energie, à savoir, etre une sorte de maman, qui guide, qui accompagne, et à la fois, une copine.
--- mes questionnements---
Apres avoir mis tout à plat, je constate des évolutions, de mon coté, comme du sien, notre relation est plus légère, moins nocives, on vit pour soi. Nous parlons sans chichi, il essaie toujours de me faire rire et il vit pour lui.
J'ai conscience que mon mal etre physique aspire à et nourrit mon manque de motivation/volonté et impacte ma vie sociale.
Mais si avant j'avais peur d'etre seule, aujourd'hui, j'ai envie de m'isoler, de mes amis, de mon compagnon.
je ressens un malaise lorsque je suis avec eux, et bien plus présent, sans etre handicapant, lorsque je suis avec mon compagnon.
ce que je ressens ? et bien, rien, je ne sais pas ce que je ressens, aucune chose significative. Je ne doute pas de son amour, or moi, je doute du miens, et je veux etre la plus juste possible avec lui, tant c'est un etre que j'estime et que j'affectionne. On me dit que l'amour évolue, fluctue, qu'on peut ressentir plus ou moins des sentiments forts, qu'ils sont différents de l'amour passion du début. mais je ne sais pas si je fais face à ça parce que je ne m'aime plus assez pour l'aimer.
ou alors, j'ai été bléssé et dégouté de l'amour puisqu'il n'a pas été totalemnt sain ces derniers temps.
j'aime passer du temps avec lui, je suis dans un confort, je peux parler de tout, j'aime etre contre lui lorsque je m'endors.
j'aime qu'il me connaisse et me décrypte et surtout, je n'ai pas l'impression de lui dire des je t'aime vides de sens.
Et je veux etre juste envers lui, savoir si, cette periode que je traverse ne resulte que de souci d'amour de soi que je prends en charge par des pro du sport et de la nutrition, ou simplEment, parce qu'il n'est devenu que mon meilleur ami.
bien à vous, et belle journée.
Publié le 09/03/2022 par jupiter1111
Salut très chère, pour commencé, je compatit énormément avec toi, je ne pourrait pas vraiment t'aider pour la simple et bonne raison que je suis dans un état psychologique similaire au tient. J'espère simplement que en te disant cela tu te sentira peut être moins seul. Cette envie de ne parler a personne et rester seul je la vit aussi, mais je pense énormément aux autres avant moi et donc je me force a rester avec eux ou juste pour simplement éviter de montrer toute trace de mal-être. Pour la démotivation, j'ai un refus dans ma tête de l'admettre et cela empire plus qu'autre chose. cela agit comme un vice, je me force a faire quelque chose, pour les cours par exemple mais dès rentré dans l'effort j'arrête et je m'enfonce encore plus en voyant que je n'y arrive pas et même sous la pression ou le soutient de personnes, je n'y arrive pas. Je pense mais je ne sait pas si cela fonctionnera, serait de trouver le problème de départ, comme un caillou dans un engrenage, si on le retire, cela fait fonctionner les autres engrenages uns a uns. Par ce que, pour mon cas, ce sont une suite de problèmes qui ont entrainer d'autres problèmes, alors faudrait il le faire a l'envers ? Il faudrait un déclique qui nous redonnerait motivation et envie de voir nos proches et passé du temps heureux et sincère. Honnêtement je suis même confus dans ce que je dit et ce que je pense.
Dis moi ce que tu voit a travers ce message, si c'est a coté de la plaque par rapport a ce que tu pense ou si il y a une similitude quelconque.
Bisous et prend sois de toi,
Titou
Publié le 28/03/2022 par titoudem69