Questions
Comment faire pour arreté de pensé a me mutilé.
J'ai commencé a mutilé l'année passé au mois de juillet. Mon pere a tout découvert au mois de Mars et il m'a demandé d'arrêté, donc un mois mois apres j'ai arrêté, mais les cicatrice son toujours la ety ne parté pas. Et maintenant a chaque que fois que tout va mal, j'ai envi de continué. Comment faire pour plus y pensé? merci
J'ai commencé a mutilé l'année passé au mois de juillet. Mon pere a tout découvert au mois de Mars et il m'a demandé d'arrêté, donc un mois mois apres j'ai arrêté, mais les cicatrice son toujours la ety ne parté pas. Et maintenant a chaque que fois que tout va mal, j'ai envi de continué. Comment faire pour plus y pensé? merci
Bonjour.
Il y a beaucoup d’éléments dans ton message et nous avons un peu de mal à cerner ta demande, n’hésite pas à nous recontacter en nous guidant vers tes priorités.
Si nous comprenons bien, tes parents sont séparés et tu vis avec ton papa (et aussi avec ta petite sœur de 7 ans ?). Tes relations sont difficiles avec ton beau-père, il parle de toi à tes amis et tu n’apprécies pas. De plus, il a fait du mal à ta petite sœur lors d’une dispute violente avec ta maman.
Tu ne vas pas bien en ce moment, tu dors mal, tu t’es mutilée pendant un temps, tu as réussi à arrêter mais l’idée revient dans ta tête et tu as peur de craquer. Tu as vu une psychologue mais elle t’a trahie nous dis-tu. Tu veux bien nous expliquer ? On ne rencontre pas toujours la bonne personne du premier coup, tu n’as pas eu de chance mais cela ne doit pas t’empêcher de consulter quelqu’un d’autre, il y a des tas de professionnels très compétents, sois en sûre. Cette consultation, c’était pour parler de l’auto-mutilation ou de ta relation avec ton beau-père ou encore autre chose ?
En attendant de recevoir plus d’éléments de ta part, nous te disons déjà que tu fais très bien de ne pas rester seule avec ce malêtre, plus tu en parleras et plus tu pourras t’en dégager, prendre un peu de recul et comprendre ce qui t’arrive.
L’auto-mutilation est une souffrance terrible, généralement la personne s’auto-mutile pour avoir mal d’une autre façon qu’elle a mal ailleurs, dans sa tête ou son cœur par exemple.
Tu constates que les cicatrices sont là et que à leur façon elles te rappellent ta douleur ou tes difficultés. Accroche toi car ces cicatrices te rappellent aussi que ces mutilations ont eu lieu mais que tu as eu la force de les stopper ! Considère le fait d’y repenser comme un gros signal d’alarme, la sirène retentit mais l’incendie n’est pas déclaré, tu dois t’occuper de toi, nous sommes là pour te soutenir et t’aider, d’accord ?
A bientôt.
Il y a beaucoup d’éléments dans ton message et nous avons un peu de mal à cerner ta demande, n’hésite pas à nous recontacter en nous guidant vers tes priorités.
Si nous comprenons bien, tes parents sont séparés et tu vis avec ton papa (et aussi avec ta petite sœur de 7 ans ?). Tes relations sont difficiles avec ton beau-père, il parle de toi à tes amis et tu n’apprécies pas. De plus, il a fait du mal à ta petite sœur lors d’une dispute violente avec ta maman.
Tu ne vas pas bien en ce moment, tu dors mal, tu t’es mutilée pendant un temps, tu as réussi à arrêter mais l’idée revient dans ta tête et tu as peur de craquer. Tu as vu une psychologue mais elle t’a trahie nous dis-tu. Tu veux bien nous expliquer ? On ne rencontre pas toujours la bonne personne du premier coup, tu n’as pas eu de chance mais cela ne doit pas t’empêcher de consulter quelqu’un d’autre, il y a des tas de professionnels très compétents, sois en sûre. Cette consultation, c’était pour parler de l’auto-mutilation ou de ta relation avec ton beau-père ou encore autre chose ?
En attendant de recevoir plus d’éléments de ta part, nous te disons déjà que tu fais très bien de ne pas rester seule avec ce malêtre, plus tu en parleras et plus tu pourras t’en dégager, prendre un peu de recul et comprendre ce qui t’arrive.
L’auto-mutilation est une souffrance terrible, généralement la personne s’auto-mutile pour avoir mal d’une autre façon qu’elle a mal ailleurs, dans sa tête ou son cœur par exemple.
Tu constates que les cicatrices sont là et que à leur façon elles te rappellent ta douleur ou tes difficultés. Accroche toi car ces cicatrices te rappellent aussi que ces mutilations ont eu lieu mais que tu as eu la force de les stopper ! Considère le fait d’y repenser comme un gros signal d’alarme, la sirène retentit mais l’incendie n’est pas déclaré, tu dois t’occuper de toi, nous sommes là pour te soutenir et t’aider, d’accord ?
A bientôt.