(suite... d'une colère du lundi ^^)


Être malheureuse m'a fait du bien, mais je vis, dans un monde un peu malade (on donne des calmants aux enfants, des antidépresseurs dans le boeuf, des neuroleptique à tout va, on déclare des guerre pour savoir lequel des dieux à le plus de super-pouvoir sans avoir lu de théologie, on parle de régime devant un type qui crève de faim, on parle de voyage et de l'hospitalité sans voir qu'ici c'est pas avec des cornes de gazelles qu'on accueille les étrangers, on veut enlever le Mademoiselle alors que plus 1 millions de femmes sont excisées, et on se bat contre cette pratique à grands coups de désinformations et de clichés occidentaux, on consomme les corps comme les clopes, la prostitutions et la dépression croisse à mesure que l'économie s'effondre, on stéréotype, on racisme par des blagues de beauf avec une bière à l'OGM, les enfants achète des pistolets à bille pour Noel, d'autres vont à la guerre et y trouve du sens parce qu'ils sont sans repères.... )

Je vis dans un monde de fou, et je peux avoir un impact. J'ai mon mot à dire.
Quand je m'emporte, quand ce que je vois me pique, c'est que je vais bien... la colère ressemble à une vie qui se laisse percuté par le monde.

Je ne possède peut-être pas de vérités, je nage peut-être dans l'absurdité, et je ferais peut-être plus de mal que de bien en voulant améliorer un peu les choses... MAIS, j'ai 22 ans, je suis adulte, majeure et garante face aux nouvelles générations du message que je laisse. Je ne suis pas encore blasée de tout, au contraire, je crois en l'Homme, comme certains ont cru en moi.


Je dois filer en cours. (Déjà, ne pas saboter ma vie ^^)