Questions
Bonjour,
Je réponds (tardivement) à votre réponse.
À vrai dire, je ne ressens pas de colère, plutôt de la peur pour l'avenir parfois, de la tristesse, surtout lorsque je vois cette fille qui est dans ma prépa et quand je me dis qu'une nouvelle fois, il ne fait pas envisager quoi que ce soit, c'est impossible. C'est dur moralement parce qu'on voit autrui vivre une relation et on est un des éternels célibataires.
Cela me tracasse beaucoup, pour vous donner un ordre d'idée, je n'ai pas beaucoup travaillé ces vacances, ni très reposé, j'ai tourné en rond dans un cercle vicieux en pensant à cela, et cela me ronge l'esprit .
Cela peut arriver assez aléatoirement, mais surtout quand je vois cette fille chaque jour de la semaine, j'y pense et je déprime.
Je sais que je suis quelqu'un de bien, on m'a déjà complimenté, on m'apprécie... mais j'ai peur pour l'avenir parfois car j'ai l'impression d'avoir le même caractère, comportement que ceux qui sont célibataires depuis toujours dans mon entourage.
En fait, je vois pas comment c'est possible de rencontrer des gens, pour faire de nouvelles rencontres, tisser des liens s'il est compliqué d'établir une proximité avec eux.
Cela est possible par exemple à l'école, au travail, dans les loisirs EN ASSOCIATION parce que je cours, et courir seul rend compliqué les rencontres (même si je courrais en groupe en club). J'ai appelé l'autre jour une ligne d'écoute, et ils m'ont dit que si, c'était possible de "rencontrer" du monde dans un bar, se faire de nouveaux amis dans ces endroits... Je ne vois pas comment ou alors je m'y prends mal.
Enfin, j'ai bien compris vos propos quand aux relations courtes durées, vous ne les privilégiez pas par rapport aux autres, vous avez soulevés leurs potentiels intérêts. Pas de confusion sur ce point.
Mes amis en couple ont rencontré leur partenaire dans leur entourage, quand ils étaient au lycée, ou bien en prépa cette année comme c'est le cas pour un.
Mes parents se sont rencontrés il y a 28 ans au travail . Mon père avait 30 ans donc je sais bien que l'amour n'est pas une question d'âge. Et je suis convaincu, que si autrui a trouvé chaussure à son pied, il en sera de même pour moi, même si le début d'une relation amoureuse est aussi une question de hasard en partie ( il faut rencontrer la bonne personne, qui est célibataire et avec qui c'est réciproque, ce qui n'a pas été le cas avec cette fille de la prépa).
Je suis convaincu que mon tour viendra. Mais parfois , ça me déprime et me fais peur, je pense que c'est parce que je suis l'éternel célibataire dans mon entourage, on se demande ce qui ne va pas alors qu'il n'y a rien d'anormal, et même si ça me déprime parfois, je reste quand même conscient de mes qualités et de ce que je vaux.
Merci d'avance de votre réponse et encore désolé du GROS pavé, mais il fallait exposer clairement ce que je ressens. Quel est votre point de vue sur mes propos ?
Merci d'avance et je vous souhaite également en retard une bonne et heureuse année 2024 vous concernant, une bonne santé !
À bientôt
Je réponds (tardivement) à votre réponse.
À vrai dire, je ne ressens pas de colère, plutôt de la peur pour l'avenir parfois, de la tristesse, surtout lorsque je vois cette fille qui est dans ma prépa et quand je me dis qu'une nouvelle fois, il ne fait pas envisager quoi que ce soit, c'est impossible. C'est dur moralement parce qu'on voit autrui vivre une relation et on est un des éternels célibataires.
Cela me tracasse beaucoup, pour vous donner un ordre d'idée, je n'ai pas beaucoup travaillé ces vacances, ni très reposé, j'ai tourné en rond dans un cercle vicieux en pensant à cela, et cela me ronge l'esprit .
Cela peut arriver assez aléatoirement, mais surtout quand je vois cette fille chaque jour de la semaine, j'y pense et je déprime.
Je sais que je suis quelqu'un de bien, on m'a déjà complimenté, on m'apprécie... mais j'ai peur pour l'avenir parfois car j'ai l'impression d'avoir le même caractère, comportement que ceux qui sont célibataires depuis toujours dans mon entourage.
En fait, je vois pas comment c'est possible de rencontrer des gens, pour faire de nouvelles rencontres, tisser des liens s'il est compliqué d'établir une proximité avec eux.
Cela est possible par exemple à l'école, au travail, dans les loisirs EN ASSOCIATION parce que je cours, et courir seul rend compliqué les rencontres (même si je courrais en groupe en club). J'ai appelé l'autre jour une ligne d'écoute, et ils m'ont dit que si, c'était possible de "rencontrer" du monde dans un bar, se faire de nouveaux amis dans ces endroits... Je ne vois pas comment ou alors je m'y prends mal.
Enfin, j'ai bien compris vos propos quand aux relations courtes durées, vous ne les privilégiez pas par rapport aux autres, vous avez soulevés leurs potentiels intérêts. Pas de confusion sur ce point.
Mes amis en couple ont rencontré leur partenaire dans leur entourage, quand ils étaient au lycée, ou bien en prépa cette année comme c'est le cas pour un.
Mes parents se sont rencontrés il y a 28 ans au travail . Mon père avait 30 ans donc je sais bien que l'amour n'est pas une question d'âge. Et je suis convaincu, que si autrui a trouvé chaussure à son pied, il en sera de même pour moi, même si le début d'une relation amoureuse est aussi une question de hasard en partie ( il faut rencontrer la bonne personne, qui est célibataire et avec qui c'est réciproque, ce qui n'a pas été le cas avec cette fille de la prépa).
Je suis convaincu que mon tour viendra. Mais parfois , ça me déprime et me fais peur, je pense que c'est parce que je suis l'éternel célibataire dans mon entourage, on se demande ce qui ne va pas alors qu'il n'y a rien d'anormal, et même si ça me déprime parfois, je reste quand même conscient de mes qualités et de ce que je vaux.
Merci d'avance de votre réponse et encore désolé du GROS pavé, mais il fallait exposer clairement ce que je ressens. Quel est votre point de vue sur mes propos ?
Merci d'avance et je vous souhaite également en retard une bonne et heureuse année 2024 vous concernant, une bonne santé !
À bientôt
Bonjour à toi,
Merci pour ton message que nous avons lu avec grande attention.
Tu as bien le droit d’exprimer ce que tu ressens, de te sentir moins bien à certains moments, ce qui importe, c’est que cela n’envahisse pas toutes tes pensées, tout le temps. Continue à faire tes activités, à courir, on imagine que ça te fait du bien ça.
La solitude est douloureuse quand on la subit, et dans notre société actuelle, elle est très présente et pourtant un peu tabou, il y a peu de gens qui osent dire que le célibat leur pèse, c’est dommage car il n’y a aucune honte ou malaise à avoir.
Le regard des autres n’est pas aidant non plus, et les « alors, toujours célibataire ? », « et toi, pas une copine à nous présenter ? » sont lourds, lourds, lourds … même si il n’y a pas de mauvaise intention bien sûr.
Continue à rester ouvert vers les autres et l’extérieur, fais ce que tu aimes, des choses qui te font du bien, d’accord ?
On reste à ton écoute et on te souhaite une belle année 2024, avec de bons moments, et de nouvelles rencontres !
L’équipe de Paroles D’ados
Merci pour ton message que nous avons lu avec grande attention.
Tu as bien le droit d’exprimer ce que tu ressens, de te sentir moins bien à certains moments, ce qui importe, c’est que cela n’envahisse pas toutes tes pensées, tout le temps. Continue à faire tes activités, à courir, on imagine que ça te fait du bien ça.
La solitude est douloureuse quand on la subit, et dans notre société actuelle, elle est très présente et pourtant un peu tabou, il y a peu de gens qui osent dire que le célibat leur pèse, c’est dommage car il n’y a aucune honte ou malaise à avoir.
Le regard des autres n’est pas aidant non plus, et les « alors, toujours célibataire ? », « et toi, pas une copine à nous présenter ? » sont lourds, lourds, lourds … même si il n’y a pas de mauvaise intention bien sûr.
Continue à rester ouvert vers les autres et l’extérieur, fais ce que tu aimes, des choses qui te font du bien, d’accord ?
On reste à ton écoute et on te souhaite une belle année 2024, avec de bons moments, et de nouvelles rencontres !
L’équipe de Paroles D’ados