Questions
suite a votre réponse à ma question
par rapport a vos question, je ne veux plus d'hospitalisation car j'en ai déjà eu pas mal qui n'ont rien changé, à peine un mois après mes sorties, je rechutais et c'est encore une fois le cas... Sinon, il a peut etre ses raisons de vouloir me mettre sous tutelle, il met souvent en avant mon poids et mon IMC (=14)pour dire que meme si je peux encore prendre par à mes activités, mon corps souffre pour lui... et puis pour moi, mes études sont prioritaires sur tout le reste y compris ma santé... voilà pourquoi je refuse cette nouvelle hospitalisation
par rapport a vos question, je ne veux plus d'hospitalisation car j'en ai déjà eu pas mal qui n'ont rien changé, à peine un mois après mes sorties, je rechutais et c'est encore une fois le cas... Sinon, il a peut etre ses raisons de vouloir me mettre sous tutelle, il met souvent en avant mon poids et mon IMC (=14)pour dire que meme si je peux encore prendre par à mes activités, mon corps souffre pour lui... et puis pour moi, mes études sont prioritaires sur tout le reste y compris ma santé... voilà pourquoi je refuse cette nouvelle hospitalisation
Bonjour à toi, si ton IMC est de 14 réellement, ton psychiatre a tout à fait raison de vouloir faire quelque chose de conséquent ! Bien sûr que ton corps souffre lors de tes activités ! Tu ne devrais plus être capable de bien te concentrer non plus, arrives-tu encore à étudier ? Avec un IMC de 14 (si tu es sûre de ce chiffre), les études n’ont plus de sens, il s’agit d’un cas de survie, un cas d’urgence . Les études ont du sens pour quelqu’un qui est en bonne santé , quelqu’un qui a un projet d’avenir, qui a envie de trouver un bon métier pour plus tard…
Si tu ne veux pas abandonner tes études alors que ton corps est hyper fragilisé, il y a un déséquilibre quelque part dans tes priorités.
Les hospitalisations peuvent ne pas avoir été efficaces les fois précédentes, il suffit parfois d’un déclic, d’une rencontre avec une personne différente, d’une technique thérapeutique différente , pour que cela débouche sur quelque chose. Et si tu profitais des vacances scolaires pour reprendre un programme thérapeutique ? On peut comprendre ton découragement par rapport aux hospitalisations, et le fait que tu t’accroches à tes études puisque c’est sans doute la seule chose qui marche bien pour toi. Tu es courageuse, tu fais ce que tu peux pour continuer coûte que coûte, mais si tu penses que ton psychiatre est bienveillant pour toi, nous pensons que tu peux lui faire confiance. Il faut vivre d’abord, et puis étudier et se former pour se faire une belle vie ensuite…
Que pensent tes proches de tout cela ? Tes parents, ta famille ? Qui peut t’aider ? A qui peux-tu demander conseil ?
Tu pourrais évidemment refuser l’hospitalisation, mais que pourrais-tu mettre à la place de cela pour survivre ? Te rends-tu compte que quelque chose t’empêche sans doute d’être réellement heureuse pour le moment ? Ou tout cela n’est-il que le fruit de l’imagination d’un psychiatre trop zélé à ton avis ?
Tu avais parlé d’un accident de voiture il y a longtemps… Fais-tu un lien entre ce qui s’est passé à l’époque et ce que tu vis aujourd’hui ?
Nous te souhaitons courage (tu en as) et clairvoyance, n’hésite pas à nous revenir si tu en as envie… Nous souhaitons bon courage aussi à ton psy! Tu as l'air d'un sacré numéro! :-)
Bien à toi, l’équipe de Paroles d’ados.
Si tu ne veux pas abandonner tes études alors que ton corps est hyper fragilisé, il y a un déséquilibre quelque part dans tes priorités.
Les hospitalisations peuvent ne pas avoir été efficaces les fois précédentes, il suffit parfois d’un déclic, d’une rencontre avec une personne différente, d’une technique thérapeutique différente , pour que cela débouche sur quelque chose. Et si tu profitais des vacances scolaires pour reprendre un programme thérapeutique ? On peut comprendre ton découragement par rapport aux hospitalisations, et le fait que tu t’accroches à tes études puisque c’est sans doute la seule chose qui marche bien pour toi. Tu es courageuse, tu fais ce que tu peux pour continuer coûte que coûte, mais si tu penses que ton psychiatre est bienveillant pour toi, nous pensons que tu peux lui faire confiance. Il faut vivre d’abord, et puis étudier et se former pour se faire une belle vie ensuite…
Que pensent tes proches de tout cela ? Tes parents, ta famille ? Qui peut t’aider ? A qui peux-tu demander conseil ?
Tu pourrais évidemment refuser l’hospitalisation, mais que pourrais-tu mettre à la place de cela pour survivre ? Te rends-tu compte que quelque chose t’empêche sans doute d’être réellement heureuse pour le moment ? Ou tout cela n’est-il que le fruit de l’imagination d’un psychiatre trop zélé à ton avis ?
Tu avais parlé d’un accident de voiture il y a longtemps… Fais-tu un lien entre ce qui s’est passé à l’époque et ce que tu vis aujourd’hui ?
Nous te souhaitons courage (tu en as) et clairvoyance, n’hésite pas à nous revenir si tu en as envie… Nous souhaitons bon courage aussi à ton psy! Tu as l'air d'un sacré numéro! :-)
Bien à toi, l’équipe de Paroles d’ados.