Bonjour,

Je comprends parfaitement ce que vous dites et je me sens en effet à part. Avant, c'est-à-dire quand j'étais peu confiant je me sentais rejeté de tous et comme si je faisais tache dans le groupe de gens avec lequel je trainais. Avec l'amélioration de l'image de moi ce sentiment ,souvent faux comme je l'ai appris plus tard, a baissé en intensité. Malgré cela j'ai toujours difficile à comprendre pourquoi certaines personnes m'aiment (hormis la famille).

<<In vino veritas>>
C'est à dire qu'en sortant souvent je vois mes connaissances qui, en état d'ébriété, m'informent de l'image que je donne à mon entourage. Entre deux bafouements je peux identifier que je donne une bonne impression. Mais ce n'est pas assez pour moi, honnêtement je dois avouer que mon but réel est de créer une puissante pression sociale qui tombe sur celui qui ne m'aime pas et l'avoue au public.
Est-ce que cela manque d'éthique? Je choisis cette "arme" pour lutter passivement contre mes "ennemis" au lieu de leur consacrer du temps. Ainsi je vis ma vie intéressante et pleine d'émotions positives alors que ceux qui ne m'aiment pas sont détruits par:
-L'absence d'intérêt que je leur porte
-Toutes les conséquences de la pression sociale
-Par mon bonheur et ma réussite

Je suis conscient du fait que rien ne lie autant qu'un même ennemi et donc les victimes de ma méthode peuvent former un groupe et finalement retrouver l'acceptation d'autrui. Ce groupe pourrait monter un coup contre moi mais je serai prêt avec tous les vrais amis acquis par ma personnalité travaillée au fil des années et qui tend vers l'équilibre, c'est à dire vers la perfection.

Certes c'est une vision fort drastique mais le monde n'est pas rose et nier d'éventuelles externalités négatives serait une erreur. Je compte sur vous pour continuer à me donner des conseils afin d'être le plus sociable possible.

Bien à vous