Questions
bonjour mon frère m'a bien dit la bonne adresse du site! Voilà enfait a l'école je suis toujours rejeter on me traite de poilue ou de nul et on me harcele avec ça!mais il y a des mots qui m'insultes sur moi vulguaires en+ dont je n'ai pas très très envies de les dire...dans mon ancienne école j'étais aussi rejeter je n'avais que un ami et un ami garçon donc du coup tout le monde ce moquait de moi et j'ai vécu ça pendant 6ans!après j'ai changé d'école evidemmment mais je souffre je ne veux pas que ça se reproduise comme avant! la première année dans celle-ci ça allait mais dans la deuxième depuis que bcp de nouveaux sont arrivés ça ne va plus je n'ai pas vraiment des amis...aidez moi svp!!!merci d'avance
Bonjour à toi, sois la bienvenue sur notre site (et merci à ton frère de t’avoir parlé de nous !).
Ca n’a pas l’air simple pour toi en ce moment, tu te sens seule et même rejetée nous dis-tu. Dans ton ancienne école, tu étais aussi victime de remarques désobligeantes mais tu avais un ami. Au fait, tu as gardé des contacts avec lui ? Tu peux lui parler de ce que tu vis ? Tu vois, parfois il suffit d’une personne, d’une rencontre pour se sentir un peu mieux. Autour de toi, à qui pourrais-tu te confier ?
Nous imaginons très bien que c’est pénible à l’école d’autant plus que les jeunes de ton âge aiment se retrouver en groupe, en bande, et certains suivent l’un ou l’autre leader même si ils ne sont pas tout à fait d’accord avec lui … c’est l’effet de groupe, c’est l’envie d’être comme tout le monde et la peur d’être différent …
Comment interprètes-tu ce qui t’arrive ? A quoi est-ce lié à ton avis ? Au fait d’avoir changé d’école ? As-tu le sentiment d’être le bouc émissaire, une fille fragile et timide qui encaisse en silence ? Ressens-tu une colère en toi ou juste de la tristesse, de la déception ? Déso, c’est beaucoup de questions mais s’en poser fait souvent avancer !
Et toi, que souhaiterais-tu ? Leur scotcher la bouche pour qu’ils arrêtent leurs moqueries semble difficile, alors cherchons de ton côté à toi, voyons de quel pouvoir d’action tu disposes. Nous avons peu d’éléments donc nous te proposons des idées en vrac en espérant que l’une ou l’autre pourra convenir à ta situation (et à toi !) :
- L’indifférence est une tactique qui exige patience et nerfs d’acier ; elle peut passer pour de la résignation aux yeux de certains mais peut aussi se révéler efficace.
- La surprise. La surprise ? Et oui, suprendre, c’est rompre un équilibre, un traintrain, c’est forcer les gens à regarder et à penser autrement. Comment t’y prendrais-tu pour les surprendre ?
- Te demander ce qui pourrait bien les motiver à t’embêter toi ?
L’école est une mini société où chacun fait un jour ou l’autre l’apprentissage du succès ou du rejet, du pouvoir ou du partage, de la tolérance ou de son contraire. Ce qui nous semble important pour toi, c’est effectivement que l’histoire ne se répète pas continuellement, que tu ne te figes pas dans le moule de la victime, merci de te rappeler cela : tu n’es pas prédisposée à subir, tu n’es pas nulle. Tu as peut-être du mal à faire ta place, à te lier aux autres, ce n’est pas une tare, c’est peut-être un talon d’Achille et certains sont très experts pour repérer les failles des autres. Si Achille avait été au courant de son histoire et de sa faiblesse, avant de concourir il aurait cherché et trouvé un moyen de protéger son talon. Et toi, comment peux-tu faire pour ne pas subir ta faiblesse mais bien pour en faire une jolie plume à mettre à ton chapeau ? (cette dernière phrase, c’était l’expression favorite d’un de mes anciens profs !).
N’hésite pas à nous tenir au courant surtout, accroche toi !
L’équipe de paroles d’ados.
Ca n’a pas l’air simple pour toi en ce moment, tu te sens seule et même rejetée nous dis-tu. Dans ton ancienne école, tu étais aussi victime de remarques désobligeantes mais tu avais un ami. Au fait, tu as gardé des contacts avec lui ? Tu peux lui parler de ce que tu vis ? Tu vois, parfois il suffit d’une personne, d’une rencontre pour se sentir un peu mieux. Autour de toi, à qui pourrais-tu te confier ?
Nous imaginons très bien que c’est pénible à l’école d’autant plus que les jeunes de ton âge aiment se retrouver en groupe, en bande, et certains suivent l’un ou l’autre leader même si ils ne sont pas tout à fait d’accord avec lui … c’est l’effet de groupe, c’est l’envie d’être comme tout le monde et la peur d’être différent …
Comment interprètes-tu ce qui t’arrive ? A quoi est-ce lié à ton avis ? Au fait d’avoir changé d’école ? As-tu le sentiment d’être le bouc émissaire, une fille fragile et timide qui encaisse en silence ? Ressens-tu une colère en toi ou juste de la tristesse, de la déception ? Déso, c’est beaucoup de questions mais s’en poser fait souvent avancer !
Et toi, que souhaiterais-tu ? Leur scotcher la bouche pour qu’ils arrêtent leurs moqueries semble difficile, alors cherchons de ton côté à toi, voyons de quel pouvoir d’action tu disposes. Nous avons peu d’éléments donc nous te proposons des idées en vrac en espérant que l’une ou l’autre pourra convenir à ta situation (et à toi !) :
- L’indifférence est une tactique qui exige patience et nerfs d’acier ; elle peut passer pour de la résignation aux yeux de certains mais peut aussi se révéler efficace.
- La surprise. La surprise ? Et oui, suprendre, c’est rompre un équilibre, un traintrain, c’est forcer les gens à regarder et à penser autrement. Comment t’y prendrais-tu pour les surprendre ?
- Te demander ce qui pourrait bien les motiver à t’embêter toi ?
L’école est une mini société où chacun fait un jour ou l’autre l’apprentissage du succès ou du rejet, du pouvoir ou du partage, de la tolérance ou de son contraire. Ce qui nous semble important pour toi, c’est effectivement que l’histoire ne se répète pas continuellement, que tu ne te figes pas dans le moule de la victime, merci de te rappeler cela : tu n’es pas prédisposée à subir, tu n’es pas nulle. Tu as peut-être du mal à faire ta place, à te lier aux autres, ce n’est pas une tare, c’est peut-être un talon d’Achille et certains sont très experts pour repérer les failles des autres. Si Achille avait été au courant de son histoire et de sa faiblesse, avant de concourir il aurait cherché et trouvé un moyen de protéger son talon. Et toi, comment peux-tu faire pour ne pas subir ta faiblesse mais bien pour en faire une jolie plume à mettre à ton chapeau ? (cette dernière phrase, c’était l’expression favorite d’un de mes anciens profs !).
N’hésite pas à nous tenir au courant surtout, accroche toi !
L’équipe de paroles d’ados.