Questions
Bonsoir,
Oui il semblerait que chez moi les émotions se vivent en taille XXL malheureusement...
Par "malade des nerfs" ma mère veut tout simplement dire que je suis très à cran, au point peut-être de prendre des médicaments pour me calmer. Elle s'énerve de me voir prostrée devant mon pc, je me suis remise à dessiner mais ce jour là elle m'a carrément gueulé que je n'avais plus de motivation. Oui elle doit penser que je m'emporte trop facilement, ce qui n'est pas faux je l'admets. J'ai parfaitement conscience que je peux décider n'importe quoi dans ce genre de situation, le pire c'est que l'on pourrait croire que c'est sur un coup de tête, alors que pas du tout, c'est juste qu'en quelques secondes je peux établir un plan pour accéder le plus facilement (et rapidement surtout) possible à ce que je veux. J'ai toujours été très calculatrice et stratégique.
Mais du jour au lendemain mes pleurs on cessé, et tant mieux d'ailleurs... Dans la soirée j'ai parlé de mes pleurs incessants à ce garçon, qui m'en a demandé la raison bien sûr. J'ai été évidemment obligée de lui dire que je n'en avais pas la moindre idée, je ne me voyais lui dire "Je pleurs à cause des km qui nous séparent" ou quelque chose comme ça.
En fait je suis malheureuse de vivre aussi loin de lui. N'ayant jamais eu de petit ami je profite à fond de la moindre occasion où cela pourrait changer, alors les éléments comme l'âge ou la distance deviennent des détails, et j'ai parfois du mal à comprendre comment ce raisonnement ne peut pas être aussi clair dans la tête des gens qui m'intéressent, en l'occurrence: lui.
Le peu de gens à qui j'en ai parlé soutiennent l'idée qu'une relation à distance n'aboutie à rien... C'est peut-être vrai, mais dans mon cas je ne peux que dire qu'il peut y avoir des exceptions.
J'ai l'impression que tout se bouscule dans ma tête, j'ai peur de le rencontrer une première fois puisque je devrai forcément repartir et ce sera "terminé" avant même que ça ait réellement commencé. Mais au fond de moi je garde le maigre espoir qu'il se produise une sorte de déclic lorsqu'on se verra. Quelque chose qui fera un peu oublier la distance et permettra peut-être de mieux la supporter.
(suite juste après)
Oui il semblerait que chez moi les émotions se vivent en taille XXL malheureusement...
Par "malade des nerfs" ma mère veut tout simplement dire que je suis très à cran, au point peut-être de prendre des médicaments pour me calmer. Elle s'énerve de me voir prostrée devant mon pc, je me suis remise à dessiner mais ce jour là elle m'a carrément gueulé que je n'avais plus de motivation. Oui elle doit penser que je m'emporte trop facilement, ce qui n'est pas faux je l'admets. J'ai parfaitement conscience que je peux décider n'importe quoi dans ce genre de situation, le pire c'est que l'on pourrait croire que c'est sur un coup de tête, alors que pas du tout, c'est juste qu'en quelques secondes je peux établir un plan pour accéder le plus facilement (et rapidement surtout) possible à ce que je veux. J'ai toujours été très calculatrice et stratégique.
Mais du jour au lendemain mes pleurs on cessé, et tant mieux d'ailleurs... Dans la soirée j'ai parlé de mes pleurs incessants à ce garçon, qui m'en a demandé la raison bien sûr. J'ai été évidemment obligée de lui dire que je n'en avais pas la moindre idée, je ne me voyais lui dire "Je pleurs à cause des km qui nous séparent" ou quelque chose comme ça.
En fait je suis malheureuse de vivre aussi loin de lui. N'ayant jamais eu de petit ami je profite à fond de la moindre occasion où cela pourrait changer, alors les éléments comme l'âge ou la distance deviennent des détails, et j'ai parfois du mal à comprendre comment ce raisonnement ne peut pas être aussi clair dans la tête des gens qui m'intéressent, en l'occurrence: lui.
Le peu de gens à qui j'en ai parlé soutiennent l'idée qu'une relation à distance n'aboutie à rien... C'est peut-être vrai, mais dans mon cas je ne peux que dire qu'il peut y avoir des exceptions.
J'ai l'impression que tout se bouscule dans ma tête, j'ai peur de le rencontrer une première fois puisque je devrai forcément repartir et ce sera "terminé" avant même que ça ait réellement commencé. Mais au fond de moi je garde le maigre espoir qu'il se produise une sorte de déclic lorsqu'on se verra. Quelque chose qui fera un peu oublier la distance et permettra peut-être de mieux la supporter.
(suite juste après)
Bonjour!
Aaaah... C'est dur l'amour non?
On dirait que tu as déjà beaucoup souffert de l'amour, alors que tu en es à tes tout débuts... C'est possible?
Bien sûr il y a toutes ces hustoires d'amour dont on n'a plus conscience, tous ces gens qu'on a aimé et dont on a été teriblement dépendants quand nous étions petits, qui nous ont déçus parfois, par lesquells nous nous sommes même sentis "abandonnés" à certains moments, tellement de souffrance alors qu'on ne s'en souvient plus consciemment...
Mais notre inconscient, lui, s'en souvient, (et tes pleurs sont dûs à ces traces inconscientes que ton corps a gardé en toi)et il a envie de nous protéger de nouvelles déceptions, alors il nous envoie parfois des obstacles qui nous semblent insurmontables, et qui ne le sont pas du tout en réalité...:-)
Sèche tes larmes, rassure-toi, tout va bien se passer. Et garde bien solides en toi tes bases à toi dans ces moments où tu te sens chamboulée, le dessin, tes projets, tes envies profondes, tes amis... Toutes ces choses qui font que, comme une poupée ronde et dure qui a une base lourde (tu vois?), tu peux perdre l'équilibre à un moment et te retrouver debout à nouveau le moment suivant!
Aaaah... C'est dur l'amour non?
On dirait que tu as déjà beaucoup souffert de l'amour, alors que tu en es à tes tout débuts... C'est possible?
Bien sûr il y a toutes ces hustoires d'amour dont on n'a plus conscience, tous ces gens qu'on a aimé et dont on a été teriblement dépendants quand nous étions petits, qui nous ont déçus parfois, par lesquells nous nous sommes même sentis "abandonnés" à certains moments, tellement de souffrance alors qu'on ne s'en souvient plus consciemment...
Mais notre inconscient, lui, s'en souvient, (et tes pleurs sont dûs à ces traces inconscientes que ton corps a gardé en toi)et il a envie de nous protéger de nouvelles déceptions, alors il nous envoie parfois des obstacles qui nous semblent insurmontables, et qui ne le sont pas du tout en réalité...:-)
Sèche tes larmes, rassure-toi, tout va bien se passer. Et garde bien solides en toi tes bases à toi dans ces moments où tu te sens chamboulée, le dessin, tes projets, tes envies profondes, tes amis... Toutes ces choses qui font que, comme une poupée ronde et dure qui a une base lourde (tu vois?), tu peux perdre l'équilibre à un moment et te retrouver debout à nouveau le moment suivant!