Bien le bonjour,

Sachez bien que s'il était en face de moi il se prendrait tout d'abord une grande baffe...

Il m'a "recontacté" récemment, avant-hier, et hier soir, jusqu'à minuit/1h du matin. Notre premier discussion portait sur tout et n'importe quoi.
Mais cette nuit il m'a avoué préférer une de mes amies qui est au courant de l'histoire, et qui le hait au plus au point, c'est proche du dégoût. Je lui ai dit. Il m'a demandé si elle voulait le tuer, j'ai répondu « Elle je ne sais pas mais moi oui parfois ». Ca l'a étonné bizarrement... Il a donc demandé pourquoi, j'ai rétorqué que c'était peut-être à cause de la phrase blessante qu'il m'a balancé avant que je ne parte de chez lui. Il a avoué être maladroit et m'a demandé de lui citer ce qu'il m'avait dit, ce que j'ai fait.
Il a répondu qu'il me l'avait pourtant dit plusieurs fois, qu'il voulait être clair vis-à-vis de ça pour éviter ce genre de malentendu. Qu'il m'aimait bien même si la seule chose qu'il « détestait » chez était le fait que, selon lui, je suis « un peu grosse » (pour ainsi dire j'ai quelques rondeurs mais je ne suis pas à proprement parlé « grosse »). J'avoue que sur le moment je m'attendais plus à un reproche sur un de mes traits de caractère.
Il raconte toujours autant de choses « bizarres », moins qu'avant étant donné qu'avec moi ça n'a pas fonctionné. Enfin bref, à l'heure où je vous écris, il me parle encore, je ne sais pas ce qu'il espère, s'il veut coucher avec moi il devrait savoir que c'est peine perdu, ne serait-ce qu'en observant notre précédente conversation.

Je suis stressée lorsqu'il commence à me parler, surtout lorsqu'il me parle d'autres personnes, mais après ça va mieux.

J'ai de l'affection pour lui, mais ce que j'ai subit psychologiquement l'a fait perdre beaucoup dans l'échelle de mon estime.

Pendant un moment j'ai bien songé à lui envoyer une lettre... Anonyme, rien de bien méchant, et surtout pas écrite avec des petites lettres découpées. Juste une lettre qui pourrait le faire réaliser, car hier il ne semblait pas savoir ce qu'il avait fait de mal.
Mais bon, je lui ai dit que balancer des phrases odieuses comme il l'a fait, quand bien même elles seraient vraies, ça ne se fait pas...