Questions
Bonjour, je vous envoie ce message pour avoir un petit renseignement...
J'aimerais savoir ce que peut faire un(e) psy lorsqu'il pense que mettre son patient dans un centre, un hopital, est une mesure à prendre pour sa sécurité?
Si le patient est mineur et que ses parents ne sont au courant de rien?
A-t-il le droit de contacter sa famille contre son gré et de le placer?
J'aimerais savoir ce que peut faire un(e) psy lorsqu'il pense que mettre son patient dans un centre, un hopital, est une mesure à prendre pour sa sécurité?
Si le patient est mineur et que ses parents ne sont au courant de rien?
A-t-il le droit de contacter sa famille contre son gré et de le placer?
Bonjour à toi.
Ta question est très intéressante !
Que le patient soit mineur ou majeur, le psychologue qui a des raisons de penser que son patient pourrait se mettre en danger ou mettre d’autres personnes en danger, alertera les services adéquats pour organiser un placement.
Si le patient est mineur, il est évident que ses parents seront contactés.
De telles mesures sont prises dans des cas extrêmes, le psychologue, de par sa profession, privilégiera toujours le dialogue, la parole. Le placement d’une personne dans un centre ou un hopital n’est facile pour personne : ni le patient, premier concerné, ni le psychologue ou le médecin, ni la famille du patient ; donc il est important de choisir le meilleur endroit, le plus adéquat, en gardant comme balise la résolution du problème du patient. C’est vrai que c’est plus pénible si le patient est placé contre son gré, mais dans certains cas c’est la seule voie envisageable à ce moment là.
Nous espérons que tu vas bien et te disons à bientôt !
L’équipe de paroles d’ados.
Ta question est très intéressante !
Que le patient soit mineur ou majeur, le psychologue qui a des raisons de penser que son patient pourrait se mettre en danger ou mettre d’autres personnes en danger, alertera les services adéquats pour organiser un placement.
Si le patient est mineur, il est évident que ses parents seront contactés.
De telles mesures sont prises dans des cas extrêmes, le psychologue, de par sa profession, privilégiera toujours le dialogue, la parole. Le placement d’une personne dans un centre ou un hopital n’est facile pour personne : ni le patient, premier concerné, ni le psychologue ou le médecin, ni la famille du patient ; donc il est important de choisir le meilleur endroit, le plus adéquat, en gardant comme balise la résolution du problème du patient. C’est vrai que c’est plus pénible si le patient est placé contre son gré, mais dans certains cas c’est la seule voie envisageable à ce moment là.
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L’équipe de paroles d’ados.
