Questions
Bonjour,
Je vous prie de bien vouloir m'excuser, je vous ai renvoyé ma question réécrite une deuxième fois : je croyais que vous n'aviez pas lu mon premier message.
Je réponds donc à votre première réponse et, je voulais également vous remercier d'avoir pris le temps de lire mon message et d'y avoir répondu. Le psychologue que je vois est assez silencieux : il ne me pose aucune question au début, je dois juste parler. Ensuite, il me pose deux ou trois questions pour en savoir plus mais, c'est tout. Il ne me donne pas véritablement de conseils, d'où mon message à votre intention. J'ai donc l'intention de lui poser plus de questions pour qu'il y réponde. Le fait d'habiter chez mes parents ne me dérangerait pas si je ne me comparais pas sans cesse à ma meilleure amie, qui je trouve a nettement plus d'indépendance. Mais, il est vrai que, même si je ne vis pas dans un appartement avec quelqu'un, mes parents me laissent sortir, me laissent quand même une certaine indépendance, au final. Cependant, malgré le fait qu'ils m'autorisent à sortir, etc. Je suis assez renfermée et du coup, même si je m'entends bien avec beaucoup de personnes de ma classe et que j'arrive à sortir avec eux, je n'arrive pas à me faire de véritables ami(e)s. Cela se fera sûrement avec le temps et, avec une prise de confiance en moi, je pense. Mes parents savent que je déprime de temps en temps mais, ne se doutent pas qu'il m'arrive d'avoir des idées suicidaires quelquefois. Je préfère ne pas leur en parler, j'ai l'impression que cela ne ferait qu'aggraver les choses. J'ai effectivement un petit frère de 15 ans, mais je ne me confie pas non plus à lui (car, il le répéterait sûrement à nos parents et, je préfère ne pas l'embêter avec mes problèmes). Qu'est-ce qui me fait le plus mal ? Cela n'a pas vraiment de rapport avec ce que je viens de raconter mais, un garçon m'a fait du mal lorsque j'étais en Seconde et, depuis, je pense que c'est là que j'ai perdu confiance en moi. Certains (dont mes parents) disent même que je cache ma véritable personnalité pour ne montrer qu'une carapace froide et cynique, pour me protéger en fait des sentiments amoureux, pour ne plus souffrir. Je pense que ce qu'ils disent est vrai. Mais, dans ce cas, comment me sortir de ce cercle vicieux ? Car, plus j'ai ce masque froid, moins de rencontres amoureuses se feront à moi. Et, moins de rencontres, signifie une perte de confiance et donc, que je garde ce masque froid. Je précise que, je ne suis pas quelqu'un qui tient absolument à être avec quelqu'un juste pour ne plus être seule. La solitude ne me fait pas spécialement peur. J'ai juste peur de ne plus tomber amoureuse et/ou de ne pas rencontrer une personne spéciale à cause de ma carapace. Pour les fêtes, j'ai effectivement des vacances mais, pas de projets spéciaux. Nous allons recevoir de la famille, sûrement. Pour finir, j'espère que je m'exprime clairement et, que vous réussirez à comprendre mon message. Je vous remercie une nouvelle fois de lire attentivement les messages que l'on vous envoie et, d'essayer de nous aider au mieux. J'avoue que cela m'a procuré un soulagement d'avoir reçu une réponse de votre part. Je trouve que c'est plus facile de s'exprimer par l'intermédiaire d'Internet et, ici d'un forum tout en sachant qu'une équipe de professionnels nous répond. Sur ce, je vous souhaite une bonne continuation. Et, j'attends votre réponse avec impatience.
Zeralda.
Je vous prie de bien vouloir m'excuser, je vous ai renvoyé ma question réécrite une deuxième fois : je croyais que vous n'aviez pas lu mon premier message.
Je réponds donc à votre première réponse et, je voulais également vous remercier d'avoir pris le temps de lire mon message et d'y avoir répondu. Le psychologue que je vois est assez silencieux : il ne me pose aucune question au début, je dois juste parler. Ensuite, il me pose deux ou trois questions pour en savoir plus mais, c'est tout. Il ne me donne pas véritablement de conseils, d'où mon message à votre intention. J'ai donc l'intention de lui poser plus de questions pour qu'il y réponde. Le fait d'habiter chez mes parents ne me dérangerait pas si je ne me comparais pas sans cesse à ma meilleure amie, qui je trouve a nettement plus d'indépendance. Mais, il est vrai que, même si je ne vis pas dans un appartement avec quelqu'un, mes parents me laissent sortir, me laissent quand même une certaine indépendance, au final. Cependant, malgré le fait qu'ils m'autorisent à sortir, etc. Je suis assez renfermée et du coup, même si je m'entends bien avec beaucoup de personnes de ma classe et que j'arrive à sortir avec eux, je n'arrive pas à me faire de véritables ami(e)s. Cela se fera sûrement avec le temps et, avec une prise de confiance en moi, je pense. Mes parents savent que je déprime de temps en temps mais, ne se doutent pas qu'il m'arrive d'avoir des idées suicidaires quelquefois. Je préfère ne pas leur en parler, j'ai l'impression que cela ne ferait qu'aggraver les choses. J'ai effectivement un petit frère de 15 ans, mais je ne me confie pas non plus à lui (car, il le répéterait sûrement à nos parents et, je préfère ne pas l'embêter avec mes problèmes). Qu'est-ce qui me fait le plus mal ? Cela n'a pas vraiment de rapport avec ce que je viens de raconter mais, un garçon m'a fait du mal lorsque j'étais en Seconde et, depuis, je pense que c'est là que j'ai perdu confiance en moi. Certains (dont mes parents) disent même que je cache ma véritable personnalité pour ne montrer qu'une carapace froide et cynique, pour me protéger en fait des sentiments amoureux, pour ne plus souffrir. Je pense que ce qu'ils disent est vrai. Mais, dans ce cas, comment me sortir de ce cercle vicieux ? Car, plus j'ai ce masque froid, moins de rencontres amoureuses se feront à moi. Et, moins de rencontres, signifie une perte de confiance et donc, que je garde ce masque froid. Je précise que, je ne suis pas quelqu'un qui tient absolument à être avec quelqu'un juste pour ne plus être seule. La solitude ne me fait pas spécialement peur. J'ai juste peur de ne plus tomber amoureuse et/ou de ne pas rencontrer une personne spéciale à cause de ma carapace. Pour les fêtes, j'ai effectivement des vacances mais, pas de projets spéciaux. Nous allons recevoir de la famille, sûrement. Pour finir, j'espère que je m'exprime clairement et, que vous réussirez à comprendre mon message. Je vous remercie une nouvelle fois de lire attentivement les messages que l'on vous envoie et, d'essayer de nous aider au mieux. J'avoue que cela m'a procuré un soulagement d'avoir reçu une réponse de votre part. Je trouve que c'est plus facile de s'exprimer par l'intermédiaire d'Internet et, ici d'un forum tout en sachant qu'une équipe de professionnels nous répond. Sur ce, je vous souhaite une bonne continuation. Et, j'attends votre réponse avec impatience.
Zeralda.
Bonsoir à toi,
Merci pour ton message et tes encouragements pour notre travail qui nous tient très à coeur !
Ton psy : il ne parle beaucoup, c’est sa méthode de travail. Mais tu dois savoir qu’il existe des styles différents dans le travail thérapeutique, et si tu penses qu’un epersonne qui “se mouille” plus te conviendrait mieux, pourquoi ne pas chercher ? ca se fait de poser directement la question au premier entretien, vraiment.
C’est intéressant ton analyse de ton problème, tu l’expliques très bien, et il concerne pas mal de jeunes qui ressentent un malêtre : c’est comme un cercle vicieux : souvent un évènement a créé une petite fissure dans la confiance en soi (ou bien parfois c’est dès l’enfance, en fonction du vécu), alors la personne se renferme un peu, se tient en retrait, n’ose pas, et bien sûr l’image renvoyée vers les autres est celle d’une personne timide, voire trop réservée, voire prsque transparente … et inintéressante … alors qu’à l’intérieur c’est quelqu’un de très riche, qui a beaucoup à partager, à recevoir et à donner !
Il existe des moyens de casser ce cercle, de se décaler de cette spirale infernale. Passer la porte d’un psy, c’est super par exemple, tiens bon, éventuellement en cherchant un autre; faire une activité de groupe, faire du théâtre, de la déclamation, du baby sitting !
Prends des initiatives, tu seras surprise du retour que tu pourras avoir !
En ce qui concerne les relations amoureuses : ce garçon qui t’a fait mal, c’était au niveau de tes sentiments ? Ca fait encore mal on dirait … Tu as envie de nous en parler ?
On reste à ton écoute, à bientôt.
L’équipe de Paroles d’ados
Merci pour ton message et tes encouragements pour notre travail qui nous tient très à coeur !
Ton psy : il ne parle beaucoup, c’est sa méthode de travail. Mais tu dois savoir qu’il existe des styles différents dans le travail thérapeutique, et si tu penses qu’un epersonne qui “se mouille” plus te conviendrait mieux, pourquoi ne pas chercher ? ca se fait de poser directement la question au premier entretien, vraiment.
C’est intéressant ton analyse de ton problème, tu l’expliques très bien, et il concerne pas mal de jeunes qui ressentent un malêtre : c’est comme un cercle vicieux : souvent un évènement a créé une petite fissure dans la confiance en soi (ou bien parfois c’est dès l’enfance, en fonction du vécu), alors la personne se renferme un peu, se tient en retrait, n’ose pas, et bien sûr l’image renvoyée vers les autres est celle d’une personne timide, voire trop réservée, voire prsque transparente … et inintéressante … alors qu’à l’intérieur c’est quelqu’un de très riche, qui a beaucoup à partager, à recevoir et à donner !
Il existe des moyens de casser ce cercle, de se décaler de cette spirale infernale. Passer la porte d’un psy, c’est super par exemple, tiens bon, éventuellement en cherchant un autre; faire une activité de groupe, faire du théâtre, de la déclamation, du baby sitting !
Prends des initiatives, tu seras surprise du retour que tu pourras avoir !
En ce qui concerne les relations amoureuses : ce garçon qui t’a fait mal, c’était au niveau de tes sentiments ? Ca fait encore mal on dirait … Tu as envie de nous en parler ?
On reste à ton écoute, à bientôt.
L’équipe de Paroles d’ados