Questions
Bonjour,
Soit j'ai la cervelle ramollie par le dégoût soit... J'ai comme l'impression que votre réponse ne correspond pas tellement à ma question actuelle.
Elle n'en reste pas moins intéressante, mais elle convient mieux à mes anciennes interrogations qui sont à ce jour élucidées.
J'en profite néanmoins pour m'excuser d'avoir rédiger ma dernière question de la sorte, maintenant que je la relis je trouve qu'elle est mal écrite. Mais ce jour là je n'avais pas vraiment l'esprit à trouver les bons mots.
Je vous souhaite une agréable fin de journée.
Soit j'ai la cervelle ramollie par le dégoût soit... J'ai comme l'impression que votre réponse ne correspond pas tellement à ma question actuelle.
Elle n'en reste pas moins intéressante, mais elle convient mieux à mes anciennes interrogations qui sont à ce jour élucidées.
J'en profite néanmoins pour m'excuser d'avoir rédiger ma dernière question de la sorte, maintenant que je la relis je trouve qu'elle est mal écrite. Mais ce jour là je n'avais pas vraiment l'esprit à trouver les bons mots.
Je vous souhaite une agréable fin de journée.
Bonjour à toi.
A nous de te présenter nos excuses et de te rassurer sur l’état de ta cervelle : notre réponse était liée à ta question précédente et du coup nous avons zappé ton dernier message.
Ton message n’était pas mal écrit, du tout, il exprimait des interrogations, un malêtre, une désillusion on pourrait dire. Et puis oui, prendre conscience de sa propre mortalité n’est pas forcément rigolo, nous te comprenons.
« Comment soigner le mal du monde » est une question que pas mal de jeunes de ton âge se posent, c’est normal. Quand on a votre âge, on a un potentiel énorme, immense, la vie est devant et comment utiliser tout ça alors qu’au même moment on prend conscience de l’immensité du chantier … il y a de quoi se figer ou se décourager, ou se désintéresser comme cela semble être ton cas, c’est ça ?
Il arrive souvent, même après une période « noire » qu’une expérience positive, une rencontre, un projet, une chanson, un film, bref la vie quoi travaille avec nous : peu à peu on accepte ses limites (et celles des Autres !!) tout en apprenant à être fier de ses réussites et de sa « contribution » au monde. Tu peux y croire à ça ? Il y a forcément des chouettes trucs qui te sont arrivés, cherche en arrière ?
En ce moment c’est pas trop la forme, tu évoques plusieurs choses qui te font regretter d’exister, tu veux nous en parler davantage ?
Enfin, un mot nous touche particulièrement à la fin de ton message, tu as l’impression de ne pas trouver ta place. En tant que « toi », tu fais partie de plusieurs cercles : la famille, les copains, l’école, les gens qui partagent avec toi un sport ou autre, ton arrondissement, le pays, …etc … si tu te dessinais au milieu de tous ces cercles, où te sentirais-tu le moins ou le plus à l’aise à ton avis ? A partir de là, tu trouveras peut-être des pistes pour t’aider à discuter et réfléchir à cette question existentielle de place, ça te tente ?
Nous pensons bien à toi et te remercions pour ces échanges ; prends soin de toi, à bientôt.
A nous de te présenter nos excuses et de te rassurer sur l’état de ta cervelle : notre réponse était liée à ta question précédente et du coup nous avons zappé ton dernier message.
Ton message n’était pas mal écrit, du tout, il exprimait des interrogations, un malêtre, une désillusion on pourrait dire. Et puis oui, prendre conscience de sa propre mortalité n’est pas forcément rigolo, nous te comprenons.
« Comment soigner le mal du monde » est une question que pas mal de jeunes de ton âge se posent, c’est normal. Quand on a votre âge, on a un potentiel énorme, immense, la vie est devant et comment utiliser tout ça alors qu’au même moment on prend conscience de l’immensité du chantier … il y a de quoi se figer ou se décourager, ou se désintéresser comme cela semble être ton cas, c’est ça ?
Il arrive souvent, même après une période « noire » qu’une expérience positive, une rencontre, un projet, une chanson, un film, bref la vie quoi travaille avec nous : peu à peu on accepte ses limites (et celles des Autres !!) tout en apprenant à être fier de ses réussites et de sa « contribution » au monde. Tu peux y croire à ça ? Il y a forcément des chouettes trucs qui te sont arrivés, cherche en arrière ?
En ce moment c’est pas trop la forme, tu évoques plusieurs choses qui te font regretter d’exister, tu veux nous en parler davantage ?
Enfin, un mot nous touche particulièrement à la fin de ton message, tu as l’impression de ne pas trouver ta place. En tant que « toi », tu fais partie de plusieurs cercles : la famille, les copains, l’école, les gens qui partagent avec toi un sport ou autre, ton arrondissement, le pays, …etc … si tu te dessinais au milieu de tous ces cercles, où te sentirais-tu le moins ou le plus à l’aise à ton avis ? A partir de là, tu trouveras peut-être des pistes pour t’aider à discuter et réfléchir à cette question existentielle de place, ça te tente ?
Nous pensons bien à toi et te remercions pour ces échanges ; prends soin de toi, à bientôt.