Questions
Bonsoir, et merci du message.
Comme vous me l'avez conseillé, hier j'ai lâcher-prise. Involontairement mais peut-être que ca m'a fait du bien. Je n'ai pas pu maitriser ce que je ressentait, et je me suis sentie faible et ridicule. Mais ça fesait longtps que je n'avais pas montrer mes sentiments devant qqn. C'était une personne un peu plus neutre, non un proche, dc peut-être plus facile pour moi ? Je suppose que j'en suis arrivé à un point ou je ne pouvais plus tenir.
Et sur ce, vous avez compris, j'ai peur. Et je crains de plus en plus la vie. Et comme vous le dites, j'essaie de me faire toute petite et de disparaitre. Mais je n'ai pas l'impression que ce soit par la peur de souffrir mais a l'inverse de faire souffrir. Ou peu-être un peu des deux mais je n'ai pas le sentiment de redouter ça, ça ne me touche plus pareil.
Je sais que je peux souffrir, c'est tout. Que ça m'arrive ou non, que je le ressente, maintenant ce n'est pas le plus grave. Mais c'est d'en provoquer et d'en voire qui m'écroule.
Et je ne sais pas comment me sortir de cette coquille qui ce renforce peu à peu. J'aimerais ressentir les belles choses et d'un autres que mon coeur reste figé, qu'il ne soit plus hypersensible. Parce qu'à chaque coup ça me surpasse, et ça me dévaste. Ca me brouille tout et je me sens obligé de me cacher.
Et j'ai de plus en plus l'impression de me perdre, ds ma vie, mes sentiments et mes proches.
Il n'y a rien qui me relance et me donne envie.
Une chose peut-être positive, normalement je devrait avoir une discussion avec la personne dont je vous ai parlé, d'ici les prochaines semaines. Ca me fera surement du bien, mais ça me fait un peu peur.
Merci pour tout, je vous souhaite d'agréables journées.
A bientôt.
Comme vous me l'avez conseillé, hier j'ai lâcher-prise. Involontairement mais peut-être que ca m'a fait du bien. Je n'ai pas pu maitriser ce que je ressentait, et je me suis sentie faible et ridicule. Mais ça fesait longtps que je n'avais pas montrer mes sentiments devant qqn. C'était une personne un peu plus neutre, non un proche, dc peut-être plus facile pour moi ? Je suppose que j'en suis arrivé à un point ou je ne pouvais plus tenir.
Et sur ce, vous avez compris, j'ai peur. Et je crains de plus en plus la vie. Et comme vous le dites, j'essaie de me faire toute petite et de disparaitre. Mais je n'ai pas l'impression que ce soit par la peur de souffrir mais a l'inverse de faire souffrir. Ou peu-être un peu des deux mais je n'ai pas le sentiment de redouter ça, ça ne me touche plus pareil.
Je sais que je peux souffrir, c'est tout. Que ça m'arrive ou non, que je le ressente, maintenant ce n'est pas le plus grave. Mais c'est d'en provoquer et d'en voire qui m'écroule.
Et je ne sais pas comment me sortir de cette coquille qui ce renforce peu à peu. J'aimerais ressentir les belles choses et d'un autres que mon coeur reste figé, qu'il ne soit plus hypersensible. Parce qu'à chaque coup ça me surpasse, et ça me dévaste. Ca me brouille tout et je me sens obligé de me cacher.
Et j'ai de plus en plus l'impression de me perdre, ds ma vie, mes sentiments et mes proches.
Il n'y a rien qui me relance et me donne envie.
Une chose peut-être positive, normalement je devrait avoir une discussion avec la personne dont je vous ai parlé, d'ici les prochaines semaines. Ca me fera surement du bien, mais ça me fait un peu peur.
Merci pour tout, je vous souhaite d'agréables journées.
A bientôt.
Bonsoir à toi,
Voir la souffrance, la provoquer aussi ou encore ne fût-ce que l’idée de pouvoir provoquer de la souffrance t’est insupportable. La peur que cela arrive est aussi terrible à vivre si nous comprenons bien.
Ta sensibilité est exacerbée on dirait, la vie est bien sûr loin d’être un long fleuve tranquille, c’est d’une certaine façon ce côté imprévisible, notre obligation à rebondir, à nous adapter qui est excitant, tu ne trouves pas ? Si on est sans cesse sur le fil, cela peut être épuisant, oui. L’idéal est d’alterner le murmure et le vacarme, la brise et la tempête, on se sent alors vivant, plein de ressources aussi, comme toi aussi tu es pleine de ressources, vraiment !
Un peu malgré toi, tu a laissé échappé des petites choses l’autre jour, tu n’as pas tout contenu. Le résultat t’a laissée un peu perplexe : tu t’es sentie « faible et ridicule » et cela t’a peut-être fait du bien aussi dis-tu. Tu vois, le ciel ne t’est pas tombé sur la tête …
Un moment important se dessine à l’horizon : une discussion avec une personne , assez proche ? Tu pressens que cette conversation te fera du bien, et elle te fait un peu peur aussi, c’est logique.
Aie confiance en toi, laisse venir, ose être toi-même c’est à dire une jeune femme sensible et intelligente, donne-toi une chance de fissurer cette coquille dont tu parles, c’est possible, ce n’est pas si loin !
Prends bien soin de toi, lâche la pression pour ta discussion, tu n’en seras que plus détendue et ouverte à ce qi pourra se dire des deux côtés, d’accord ?
A bientôt,
L’équipe de Paroles d’ados.
Voir la souffrance, la provoquer aussi ou encore ne fût-ce que l’idée de pouvoir provoquer de la souffrance t’est insupportable. La peur que cela arrive est aussi terrible à vivre si nous comprenons bien.
Ta sensibilité est exacerbée on dirait, la vie est bien sûr loin d’être un long fleuve tranquille, c’est d’une certaine façon ce côté imprévisible, notre obligation à rebondir, à nous adapter qui est excitant, tu ne trouves pas ? Si on est sans cesse sur le fil, cela peut être épuisant, oui. L’idéal est d’alterner le murmure et le vacarme, la brise et la tempête, on se sent alors vivant, plein de ressources aussi, comme toi aussi tu es pleine de ressources, vraiment !
Un peu malgré toi, tu a laissé échappé des petites choses l’autre jour, tu n’as pas tout contenu. Le résultat t’a laissée un peu perplexe : tu t’es sentie « faible et ridicule » et cela t’a peut-être fait du bien aussi dis-tu. Tu vois, le ciel ne t’est pas tombé sur la tête …
Un moment important se dessine à l’horizon : une discussion avec une personne , assez proche ? Tu pressens que cette conversation te fera du bien, et elle te fait un peu peur aussi, c’est logique.
Aie confiance en toi, laisse venir, ose être toi-même c’est à dire une jeune femme sensible et intelligente, donne-toi une chance de fissurer cette coquille dont tu parles, c’est possible, ce n’est pas si loin !
Prends bien soin de toi, lâche la pression pour ta discussion, tu n’en seras que plus détendue et ouverte à ce qi pourra se dire des deux côtés, d’accord ?
A bientôt,
L’équipe de Paroles d’ados.