Questions
g fait les test et frenchement sa m'a paru difficile! pui je sais pas je le sens mal g l'impression qu'il m'on fait comprendre que j'étais pas vrmt prête a partir pr le pays que g choisit (usa) toute façon si je suis m pas capable de réussir sa ma vie n'aurai m plus aucun sens pr moi... mais penser au suicide est ce que c grave si ce n'est que d'y penser?
Bonjour à toi. Tu as donc passé les tests pour ton projet de langues post-rhéto. Tu as eu un entretien avec des personnes de l’organisme c’est bien ça ? D’après toi, ils t’ont fait comprendre que tu n’étais pas vraiment prête à partir pour les USA ; ils te l’ont exprimé clairement, en t’expliquant ce qui leur faisait penser ça ? Un autre pays leur paraît plus adéquat ? Tu te sens un peu découragée, déçue, le test était difficile.
Une chose à la fois, non ? Attends d’avoir les résultats et les commentaires, et puis tu géreras ce qui arrivera. La vie est une succession de réussites et d’échecs, d’espoirs et de déceptions et même si cette année aux USA n’est pas possible, ce sera dur à avaler, c’est vrai, mais de là à dire que ta vie n’aura plus aucun sens, le raccourci est vraiment court tu ne crois pas ? Tu ne te trouves pas un peu exigeante avec toi-même ? D’où vient cette pression que tu t’imposes ? Et puis, ce projet, mme si il ne se concrétise pas l’an projet, est-il obligé d’aller se rhabiller pour toujours ? Il pointera peut-être le nez plus tard, dans 2 ou 3 ans ?
Quant à la dernière phrase de ton message, qui demande si c’est grave de penser au suicide, la réponse est non. La question de la mort fait partie des questions que la plupart des humains se posent, souvent même à plusieurs moments de leur existence ; lorsqu’elle ne fait que passer, cette question est souvent la preuve qu’on se sent bien vivant, c’est étrange hein ? Il est fréquent que les jeunes s’interrogent sur le suicide à l’adolescence, d’une certaine façon ça fait partie des questions que le jeune se pose sur son rapport à lui-même at au monde qui l’entoure. Cela peut devenir grave si ce sujet devient une obsession ou mène à des passges à l’acte, dans ces cas là, l’aide d’un psychologue ou psychiatre est nécessaire mais ça c’est un autre sujet.
Quand nous lisons ton message, nous t’imaginons avec une grande bulle remplie de points d’interrogation au-dessus de la tête ! Tu as pas mal de choses à gérer : différents épisodes douloureux de ta vie, ton adolescence, et surtout l’après rhéto ! Tu as déjà visité des écoles sup ? Et le SIEP, tu connais ? ils peuvent te renseigner sur les études et professions. Et à l’école, il y a des entretiens prévus avec le PMS ? les possibilités sont très nombreuses et c’est pas évident de s’y retrouver alors n’hésite pas à demander de l’aide autour de toi, d’accord ?
Nous pensons bien à toi ! L’équipe de paroles d’ados.
Une chose à la fois, non ? Attends d’avoir les résultats et les commentaires, et puis tu géreras ce qui arrivera. La vie est une succession de réussites et d’échecs, d’espoirs et de déceptions et même si cette année aux USA n’est pas possible, ce sera dur à avaler, c’est vrai, mais de là à dire que ta vie n’aura plus aucun sens, le raccourci est vraiment court tu ne crois pas ? Tu ne te trouves pas un peu exigeante avec toi-même ? D’où vient cette pression que tu t’imposes ? Et puis, ce projet, mme si il ne se concrétise pas l’an projet, est-il obligé d’aller se rhabiller pour toujours ? Il pointera peut-être le nez plus tard, dans 2 ou 3 ans ?
Quant à la dernière phrase de ton message, qui demande si c’est grave de penser au suicide, la réponse est non. La question de la mort fait partie des questions que la plupart des humains se posent, souvent même à plusieurs moments de leur existence ; lorsqu’elle ne fait que passer, cette question est souvent la preuve qu’on se sent bien vivant, c’est étrange hein ? Il est fréquent que les jeunes s’interrogent sur le suicide à l’adolescence, d’une certaine façon ça fait partie des questions que le jeune se pose sur son rapport à lui-même at au monde qui l’entoure. Cela peut devenir grave si ce sujet devient une obsession ou mène à des passges à l’acte, dans ces cas là, l’aide d’un psychologue ou psychiatre est nécessaire mais ça c’est un autre sujet.
Quand nous lisons ton message, nous t’imaginons avec une grande bulle remplie de points d’interrogation au-dessus de la tête ! Tu as pas mal de choses à gérer : différents épisodes douloureux de ta vie, ton adolescence, et surtout l’après rhéto ! Tu as déjà visité des écoles sup ? Et le SIEP, tu connais ? ils peuvent te renseigner sur les études et professions. Et à l’école, il y a des entretiens prévus avec le PMS ? les possibilités sont très nombreuses et c’est pas évident de s’y retrouver alors n’hésite pas à demander de l’aide autour de toi, d’accord ?
Nous pensons bien à toi ! L’équipe de paroles d’ados.