Questions
je n'ai jamais porté plainte car il n'y avait aucunes preuves matérielle... ça n'aurais jamais été que ma parole contre la sienne a ce pd... psychologiquement je n'aurais jamais pu supporter le poid d'un procès... car mon témoignage n'aurait jamais tenu debout (malgré que j'ai été abusée)! Mtn je ne me sens plus coupable... mais Je ne me souviens plus de bcp de choses... quand je lui en ai parler a elle cette fille, je me suis souvenue de paroles qu'il m'avait dite... j'aurai voulu porté plainte, mais si j'aurais été à la police il y aurai eu simplement déposition, ensuite un face à face... c'est tout... avocat.. j'avais pas les moyen même si les prodéos existent... l'avocat de l'autre fumier n'aurait fait qu'une bouchée de mon témoignage branlant... pourtant si vrai... je m'en voudrais toute ma vie de ne jamais avoir porter plainte... car je me demande si c plausible de c'est "laissée toucher" une première fois! je comprnd pas pk je l'ai pas envoyer balader la 1 er foi qu'il a foutu ses main dans mon froc que j'ai été simplement paralysée et pas compris... et que m'ayant fait cela je n'ai encore pas réussit a me méfier quand la ça a été carrément au viol (obligation de félation)... je savais qu'il était perver au fond mais mon jeune âge... g l'impression d'avoir tout oublier, qu'est ce qui fait croire que je suis pas coupable de ce ki ma fait... je le sais car mon psy m'a aider mais je ne vos pas ce qui a fait que je n'étais pas coupable... pui je m'en veut si sa tombe il refra sa a d'autre! ba sont histoire amon amie est révoltante, mais n'empêhce que d'autre personnes ont porté plainte pour violence et viol et ce pd se balade encore dans mon patelin! et abuse sans doute de sa nouvelle belle fille... alors qu'il aurai du être en prison
Bonjour !
Tu as fait du chemin depuis ces agressions et ce viol, et tant mieux bien sûr.
Ce que nous voulions exprimer c’est que, lorsqu’un enfant ou un jeune se trouve dans une telle situation, il devrait se sentir suffisament soutenu, porté, épaulé pour porter plainte.
Tu te demandes toujours si tu n’es pas coupable de quelque chose dans cette histoire, soit de ne pas avoir réagi la première fois, soit de ne pas l’avoir vu arriver avec ses gros sabots la fois suivante, soit de la possibilité qu’il agresse d’autres filles. Se défaire de sa culpabilité est un travail pénible, compliqué ; on a beau être rationnel, écouter les psy, comprendre avec notre cerveau que bien sûr nous sommes la victime, bien sûr nous ne pouvons inverser les rôles. Et pourtant, elle s’accroche, elle colle cette culpabilité. Comment est-ce possible ? C’est parce que nous sommes bien plus qu’un cerveau, nous sommes de la chair, des tripes, un cœur qui s’emballe, un corps qui souffre, tu comprends ? Alors le mieux c’est de ne pas l’affronter de front, ni de faire l’autruche, le mieux c’est de prendre le temps qu’il faut pour l’éplucher feuille à feuille, comme les pelures d’un oignon ; ça pique, ça fait mal, mais c’est possible.
En ce qui concerne ton amie, c’est elle qui voit pour le dépôt de plainte (quel adulte autour d’elle pourrait l’accompagner ?). Mais toi tu peux l’aider, l’écouter, l’aider à mettre des mots sur ses maux, à aller consulter un psychothérapeute ou pousser la porte d’un planning familial (l’avantage est que ce genre de centre réunit des conseillers juridiques, des psy, des médecins, …).
A une prochaine fois, bonne fin de semaine !
L’équipe de Paroles d’ados.
Tu as fait du chemin depuis ces agressions et ce viol, et tant mieux bien sûr.
Ce que nous voulions exprimer c’est que, lorsqu’un enfant ou un jeune se trouve dans une telle situation, il devrait se sentir suffisament soutenu, porté, épaulé pour porter plainte.
Tu te demandes toujours si tu n’es pas coupable de quelque chose dans cette histoire, soit de ne pas avoir réagi la première fois, soit de ne pas l’avoir vu arriver avec ses gros sabots la fois suivante, soit de la possibilité qu’il agresse d’autres filles. Se défaire de sa culpabilité est un travail pénible, compliqué ; on a beau être rationnel, écouter les psy, comprendre avec notre cerveau que bien sûr nous sommes la victime, bien sûr nous ne pouvons inverser les rôles. Et pourtant, elle s’accroche, elle colle cette culpabilité. Comment est-ce possible ? C’est parce que nous sommes bien plus qu’un cerveau, nous sommes de la chair, des tripes, un cœur qui s’emballe, un corps qui souffre, tu comprends ? Alors le mieux c’est de ne pas l’affronter de front, ni de faire l’autruche, le mieux c’est de prendre le temps qu’il faut pour l’éplucher feuille à feuille, comme les pelures d’un oignon ; ça pique, ça fait mal, mais c’est possible.
En ce qui concerne ton amie, c’est elle qui voit pour le dépôt de plainte (quel adulte autour d’elle pourrait l’accompagner ?). Mais toi tu peux l’aider, l’écouter, l’aider à mettre des mots sur ses maux, à aller consulter un psychothérapeute ou pousser la porte d’un planning familial (l’avantage est que ce genre de centre réunit des conseillers juridiques, des psy, des médecins, …).
A une prochaine fois, bonne fin de semaine !
L’équipe de Paroles d’ados.