Questions
Je ne c pas pk j'ai souvent envie de me Mutilée ... Et sa me derange !!
depuis que mon petit ami ma quitéé je me mutile plus frequament ..
mais j'essaye d'arreter ...
mais c trop dure
qu'est ce que je peut faire pour arréter ???
Merci d'avence
depuis que mon petit ami ma quitéé je me mutile plus frequament ..
mais j'essaye d'arreter ...
mais c trop dure
qu'est ce que je peut faire pour arréter ???
Merci d'avence
Pour X; Merci
Bonjour à toi, merci pour ton message.
Tu te mutiles assez souvent, et tu as l’impression que tu le fais encore plus depuis que ton copain a mis fin à votre relation.
Tu aimerais arrêter et tu ne sais pas comment faire.
D’abord essayons ensemble de comprendre, tu veux bien ? Depuis quand te mutiles-tu ? Vois-tu un événement particulier qui aurait déclenché ça ?
Un cas n’est pas l’autre bien sûr, mais il se peut que la douleur que tu ressens lors de tes coupures masque, cache une autre douleur, moins nette, plus cachée, plus intérieure. C’est ton cas tu penses ?
Parfois aussi, les jeunes prennent des risques, repoussent les limites, pour se sentir bien vivants, principalement à l’adolescence. Ca peut paraître étrange, c’est une façon de se tester, soi et les autres d’ailleurs, une manière d’être quelqu’un qui fait quelque chose à un moment où on ne sait plus trop qui on est. On a alors parfois l’impression que se faire mal physiquement, c’est la seule façon d’avoir moins mal psychiquement ou affectivement.
Le souci, c’est que prendre de grands risques, se mettre en danger, on préfère souvent ne pas trop en parler, on cache, on s’isole et un cercle infernal se met en place, un cercle de solitude et de souffrance. Ce qui est donc super, et chapeau pour ça, c’est que tu oses nous en parler, c’est un premier pas super important. A qui autour de toi pourrais-tu aussi en parler ?
Tu dis que tu as souvent « envie » de te mutiler, comment elle se manifeste cette envie ? Tu y penses longtemps à l’avance, tu programmes ? Ou bien c’est soudain ? Quand tu es chez toi, ou ailleurs ?
En fonction de tes réponses, tu pourras mettre en place des stratégies pour ne pas avoir la possibilité de te mutiler, par exemple, sortir ou téléphoner à quelqu’un quand tu sens que tu es prête à craquer.
Rien n’est définitif, ni figé ; tu as envie d’arrêter, et tu y parviendras, crois en toi et en tes forces.
Nous pensons très fort à toi et restons à ton écoute, fais attention à toi.
L’équipe de Paroles d’ados.
Tu te mutiles assez souvent, et tu as l’impression que tu le fais encore plus depuis que ton copain a mis fin à votre relation.
Tu aimerais arrêter et tu ne sais pas comment faire.
D’abord essayons ensemble de comprendre, tu veux bien ? Depuis quand te mutiles-tu ? Vois-tu un événement particulier qui aurait déclenché ça ?
Un cas n’est pas l’autre bien sûr, mais il se peut que la douleur que tu ressens lors de tes coupures masque, cache une autre douleur, moins nette, plus cachée, plus intérieure. C’est ton cas tu penses ?
Parfois aussi, les jeunes prennent des risques, repoussent les limites, pour se sentir bien vivants, principalement à l’adolescence. Ca peut paraître étrange, c’est une façon de se tester, soi et les autres d’ailleurs, une manière d’être quelqu’un qui fait quelque chose à un moment où on ne sait plus trop qui on est. On a alors parfois l’impression que se faire mal physiquement, c’est la seule façon d’avoir moins mal psychiquement ou affectivement.
Le souci, c’est que prendre de grands risques, se mettre en danger, on préfère souvent ne pas trop en parler, on cache, on s’isole et un cercle infernal se met en place, un cercle de solitude et de souffrance. Ce qui est donc super, et chapeau pour ça, c’est que tu oses nous en parler, c’est un premier pas super important. A qui autour de toi pourrais-tu aussi en parler ?
Tu dis que tu as souvent « envie » de te mutiler, comment elle se manifeste cette envie ? Tu y penses longtemps à l’avance, tu programmes ? Ou bien c’est soudain ? Quand tu es chez toi, ou ailleurs ?
En fonction de tes réponses, tu pourras mettre en place des stratégies pour ne pas avoir la possibilité de te mutiler, par exemple, sortir ou téléphoner à quelqu’un quand tu sens que tu es prête à craquer.
Rien n’est définitif, ni figé ; tu as envie d’arrêter, et tu y parviendras, crois en toi et en tes forces.
Nous pensons très fort à toi et restons à ton écoute, fais attention à toi.
L’équipe de Paroles d’ados.