Questions
mais j'en reviens toujours au fait, je me suis mutiler , mais j'arrive plus a m'arreter , car a chaque fois que j'en ai marre , ben je fais sa , mais sa me fait un effet bizzard je regrette apres , mais ensuite sa me fait du bien , mais je fait en sorte qe se ne soit pas des cicatrice voyante.
j'arrive dans une periode ou je me sens faible , incomprise , perdue ,et je ne sais plus ou allez , ni vers qui me tourner , est ce que je dois reconstruire les pots casser , est ce que j'en ait vraiment envie ? car j'ai empiler mes briques l'une sur les autres a un tel point que c'est devenu un mur insurmontable , et incassable , je repense au suicide , mais je sais que sa ferait du mal a la personne que je prends comme ma soeur de coeur (pas la vraie) et je me dit que je ne voudrais pas non plus qu'elle parte loin de moi , et au fond de moi je me dit que sa ne sert a rien de me tuer pour des gens qui me font souffir , meme si je sais que si je le fait je ne les verrait plus , mais maintenant je ne sais plus ou j'en suis , quoi faire , est ce que je devrait perdre les personnes que j'aime le plus au monde , ou rester pour faire rire les gens qui me font souffir?
j'arrive dans une periode ou je me sens faible , incomprise , perdue ,et je ne sais plus ou allez , ni vers qui me tourner , est ce que je dois reconstruire les pots casser , est ce que j'en ait vraiment envie ? car j'ai empiler mes briques l'une sur les autres a un tel point que c'est devenu un mur insurmontable , et incassable , je repense au suicide , mais je sais que sa ferait du mal a la personne que je prends comme ma soeur de coeur (pas la vraie) et je me dit que je ne voudrais pas non plus qu'elle parte loin de moi , et au fond de moi je me dit que sa ne sert a rien de me tuer pour des gens qui me font souffir , meme si je sais que si je le fait je ne les verrait plus , mais maintenant je ne sais plus ou j'en suis , quoi faire , est ce que je devrait perdre les personnes que j'aime le plus au monde , ou rester pour faire rire les gens qui me font souffir?
Bonjour,
C’est pas la forme depuis un petit temps on dirait. C’est difficile de résister à la tentation de t’auto-mutiler. Cela se produit lorsque tu te sens très mal, mal au point de ne pas trouver d’autre moyen pour passer à autre chose. En même temps tu te rends bien compte que ce n’est pas tenable, que tu te fais du tort, et là c’est le début d’une action, d’un changement possible, tu peux y croire.
Très concrètement, tente d’identifier le début de l’envie de te mutiler et oblige toi à bouger, à sortir, à ne pas rester seule à ce moment-là. Etablis une liste de quelques numéros de téléphone de personnes à appeler quand tu sens que tu vas craquer.
C’est comme tes idées de suicide qui passent dans ta tête, elles passent justement, elles ne se fixent pas car il y a des pensées plus fortes qui les chassent, et c’est çA QUI EST IMPORTANT, C’EST QUE TU GARDES LE CONTRÔLE ET QUE TU NE LAISSE PAS LES IDéES NOIRES ET LES COMPRTEMENTS DESTRUCTEURS S’INSTALLER : des pensées positives, liées aux gens qui t’aiment et que tu aimes, au futur, à toi, à tout ce qui t’attend de bien dans la vie, aux super belles rencontres que tu vas faire.
Oui, en ce moment tu rames, c’est loin d’être génial. Quand nous relisons tes anciens messages, nous nous disons que tu as déjà vécu ton lot de moments difficiles pour une jeune fille de 13 ans, et que tout ça colore forcément ta vie d’aujourd’hui. Pour pouvoir décoder tout ça, digérer, te construire ta vie à toi, celle que tu choisis et non celle que tu subis, une aide extérieure, un soutien est vraiment nécessaire.
Ta sœur de cœur dont tu parles, elle a le même âge que toi ? Du côté des adultes, de qui te sens-tu assez proche pour te confier et demander de t’accompagner, par exemple chez le médecin, ou chez une psychothérapeute ou dans un planning familial, ou dans un service d’aide à la jeunesse ?
Nous sommes d’accord avec toi, tu mérites de vivre dans la joie avec les gens que tu aimes, et tu y parviendras, accroche toi.
A bientôt,
L’équipe de Paroles d’ados.
C’est pas la forme depuis un petit temps on dirait. C’est difficile de résister à la tentation de t’auto-mutiler. Cela se produit lorsque tu te sens très mal, mal au point de ne pas trouver d’autre moyen pour passer à autre chose. En même temps tu te rends bien compte que ce n’est pas tenable, que tu te fais du tort, et là c’est le début d’une action, d’un changement possible, tu peux y croire.
Très concrètement, tente d’identifier le début de l’envie de te mutiler et oblige toi à bouger, à sortir, à ne pas rester seule à ce moment-là. Etablis une liste de quelques numéros de téléphone de personnes à appeler quand tu sens que tu vas craquer.
C’est comme tes idées de suicide qui passent dans ta tête, elles passent justement, elles ne se fixent pas car il y a des pensées plus fortes qui les chassent, et c’est çA QUI EST IMPORTANT, C’EST QUE TU GARDES LE CONTRÔLE ET QUE TU NE LAISSE PAS LES IDéES NOIRES ET LES COMPRTEMENTS DESTRUCTEURS S’INSTALLER : des pensées positives, liées aux gens qui t’aiment et que tu aimes, au futur, à toi, à tout ce qui t’attend de bien dans la vie, aux super belles rencontres que tu vas faire.
Oui, en ce moment tu rames, c’est loin d’être génial. Quand nous relisons tes anciens messages, nous nous disons que tu as déjà vécu ton lot de moments difficiles pour une jeune fille de 13 ans, et que tout ça colore forcément ta vie d’aujourd’hui. Pour pouvoir décoder tout ça, digérer, te construire ta vie à toi, celle que tu choisis et non celle que tu subis, une aide extérieure, un soutien est vraiment nécessaire.
Ta sœur de cœur dont tu parles, elle a le même âge que toi ? Du côté des adultes, de qui te sens-tu assez proche pour te confier et demander de t’accompagner, par exemple chez le médecin, ou chez une psychothérapeute ou dans un planning familial, ou dans un service d’aide à la jeunesse ?
Nous sommes d’accord avec toi, tu mérites de vivre dans la joie avec les gens que tu aimes, et tu y parviendras, accroche toi.
A bientôt,
L’équipe de Paroles d’ados.