Questions
merci d'avoir repondu .
je me mutile aux bras o début c'étais avec un compas mai pour moi sa faisai pa bocou saigner alor maintenen je le fais avec un cutter.
mercredi d'ailleurs j'ai voulu mettre fin a mes jours mais une copine ma appeler .
g plus gout a rien tous me soul mes parents plus que tout.
merci de m'aider!!!
je me mutile aux bras o début c'étais avec un compas mai pour moi sa faisai pa bocou saigner alor maintenen je le fais avec un cutter.
mercredi d'ailleurs j'ai voulu mettre fin a mes jours mais une copine ma appeler .
g plus gout a rien tous me soul mes parents plus que tout.
merci de m'aider!!!
Bonjour à toi, merci pour ta confiance.
C’est aux bras que tu te mutiles, et ça a l’air d’être important pour toi que ça saigne , du coup tu as changé de technique et tu le fais maintenant avec un cutter. Tu as même eu envie de te tuer mercredi , ça a l’air de te sembler assez naturel, comme tu as déjà le cutter en main et que tu aimes que ça saigne… Evidemment, ici, ce ne serait pas quelques gouttes, ce serait tout ton sang qui s’écoulerait de toi, une grande marre de ton sang ,…bof !…Quand on entend ton histoire, que tu n’as plus goût à rien, c’est comme si tu avais perdu toute ton énergie vitale… Que s’est-il passé pour toi ? Est-ce que c’est venu d’un coup ? Ou, c’est un ras-le-bol de plein de petites choses qui ne tournent pas rond ? Peut-être est-ce depuis toujours ? Où est passée cette énergie qui t’a fait passer tous les obstacles naturels quand tu étais un embryon, qui t’as donné la force de t’accoucher et de naître, qui t’a donné envie de croquer dans la vie quand tu étais petite fille ? Tu avais ce goût à ce moment-là…Comment est-ce arrivé pour toi de décider de ne plus sentir ce goût de la vie que tu avais ? Tu avais trop d’émotions et, pour survivre, tu as été obligée de les mettre en sourdine ? Ce goût de la vie est là quelque part en toi, mais il ne peut plus s’exprimer pour le moment, et il y a une bonne raison pour ça. C’est toi qui la connais cette raison, ou tu en as peut-être une idée …
Tu nous dis que tes parents te saoûlent, que se passe-t-il entre toi et eux, comprennent-ils ce qui t’arrive ? De toutes façons, comme tu nous en parles, ils n’ont pas l’air de pouvoir t’aider dans cette dépression que tu vis pour le moment. Est-ce qu’ils font partie du problème ? On dirait qu’il y a des choses à mettre au point entre toi et eux, les parent sont normalement les personnes qui prennent soin de toi, les personnes pour qui tu comptes le plus. Quand tu dis, ils me saoulent, tu veux dire qu’ils prennent trop de place pour toi ? Qu’ils te parlent trop, ou te demandent trop ? Arrives-tu à en parler avec eux ? Si tu arrives à mettre cette « souffrance-colère-déception » hors de toi (est-ce que ce nouveau mot te convient ?J), tu n’auras plus besoin de t’agresser toi-même, tu te sentiras moins seule, et tu pourras sans doute commencer à y voir plus clair. Ta vie a besoin de fameux changements, qu’en penses-tu ?
A quelle personne de confiance pourrais-tu parler de ce qui se passe en toi pour le moment ? En parles-tu à ta copine ? Une grande personne de ta famille ou d’ailleurs ? Bien sûr, ça demande de l’énergie, mais ton goût de vivre est là, comme une source cachée dans une grotte, et elle ne te laissera pas tranquille tant que tu ne lui permettra pas de retrouver son chemin vers le soleil !… C’est toi qui décides, nous t’accompagnons en pensée, bien à toi, l’équipe de Parolesdados.
C’est aux bras que tu te mutiles, et ça a l’air d’être important pour toi que ça saigne , du coup tu as changé de technique et tu le fais maintenant avec un cutter. Tu as même eu envie de te tuer mercredi , ça a l’air de te sembler assez naturel, comme tu as déjà le cutter en main et que tu aimes que ça saigne… Evidemment, ici, ce ne serait pas quelques gouttes, ce serait tout ton sang qui s’écoulerait de toi, une grande marre de ton sang ,…bof !…Quand on entend ton histoire, que tu n’as plus goût à rien, c’est comme si tu avais perdu toute ton énergie vitale… Que s’est-il passé pour toi ? Est-ce que c’est venu d’un coup ? Ou, c’est un ras-le-bol de plein de petites choses qui ne tournent pas rond ? Peut-être est-ce depuis toujours ? Où est passée cette énergie qui t’a fait passer tous les obstacles naturels quand tu étais un embryon, qui t’as donné la force de t’accoucher et de naître, qui t’a donné envie de croquer dans la vie quand tu étais petite fille ? Tu avais ce goût à ce moment-là…Comment est-ce arrivé pour toi de décider de ne plus sentir ce goût de la vie que tu avais ? Tu avais trop d’émotions et, pour survivre, tu as été obligée de les mettre en sourdine ? Ce goût de la vie est là quelque part en toi, mais il ne peut plus s’exprimer pour le moment, et il y a une bonne raison pour ça. C’est toi qui la connais cette raison, ou tu en as peut-être une idée …
Tu nous dis que tes parents te saoûlent, que se passe-t-il entre toi et eux, comprennent-ils ce qui t’arrive ? De toutes façons, comme tu nous en parles, ils n’ont pas l’air de pouvoir t’aider dans cette dépression que tu vis pour le moment. Est-ce qu’ils font partie du problème ? On dirait qu’il y a des choses à mettre au point entre toi et eux, les parent sont normalement les personnes qui prennent soin de toi, les personnes pour qui tu comptes le plus. Quand tu dis, ils me saoulent, tu veux dire qu’ils prennent trop de place pour toi ? Qu’ils te parlent trop, ou te demandent trop ? Arrives-tu à en parler avec eux ? Si tu arrives à mettre cette « souffrance-colère-déception » hors de toi (est-ce que ce nouveau mot te convient ?J), tu n’auras plus besoin de t’agresser toi-même, tu te sentiras moins seule, et tu pourras sans doute commencer à y voir plus clair. Ta vie a besoin de fameux changements, qu’en penses-tu ?
A quelle personne de confiance pourrais-tu parler de ce qui se passe en toi pour le moment ? En parles-tu à ta copine ? Une grande personne de ta famille ou d’ailleurs ? Bien sûr, ça demande de l’énergie, mais ton goût de vivre est là, comme une source cachée dans une grotte, et elle ne te laissera pas tranquille tant que tu ne lui permettra pas de retrouver son chemin vers le soleil !… C’est toi qui décides, nous t’accompagnons en pensée, bien à toi, l’équipe de Parolesdados.