Questions
(suite) :$
Je suis maintenant en 6e puériculture et j'avais envie de faire infirmière ou ambulancière, maintenant je sais plus je me dis je verrais bien le moment venu. J'avais de beau résulta c'est sur mais maintenant c'est la chute libre, j'ai cesser de travailler en cours je pense qu'a une chose narguer et rire plus moyen de me dire stop je dois me concentrer .. je suis rentrer dans un chemin ou moi seule j'arrive pas a me freiner.. mais personne est la pour me tendre la main car je le montre pas je suis tout le temps souriante .. je savais ou était mes limites maintenant je sais plus, ce qui me pousse a faire des tas de chose sur un coups de tête comme me faire tatouer, percer ou mettre ma santer en danger ..
Coter vacance j essaie de sortir un peu mais quand je sais que mes parent vont harceler au tel pour savoir ou je suis, ce que je fais et ac qui et si il est tard de les entendre s'énerver sa me fatigue ce qui fais que je n'ai même plus envie de les affronter mais bon je verrais au fur et a mesure des jours .. je laisse le vent me guider, plus rien me motive..j'espère sortir de la et de retrouver un sens, les motivations en gros le bonheur..
Merci je suis vraiment désolé pour le roman mais je ne savais pas comment faire
Je suis maintenant en 6e puériculture et j'avais envie de faire infirmière ou ambulancière, maintenant je sais plus je me dis je verrais bien le moment venu. J'avais de beau résulta c'est sur mais maintenant c'est la chute libre, j'ai cesser de travailler en cours je pense qu'a une chose narguer et rire plus moyen de me dire stop je dois me concentrer .. je suis rentrer dans un chemin ou moi seule j'arrive pas a me freiner.. mais personne est la pour me tendre la main car je le montre pas je suis tout le temps souriante .. je savais ou était mes limites maintenant je sais plus, ce qui me pousse a faire des tas de chose sur un coups de tête comme me faire tatouer, percer ou mettre ma santer en danger ..
Coter vacance j essaie de sortir un peu mais quand je sais que mes parent vont harceler au tel pour savoir ou je suis, ce que je fais et ac qui et si il est tard de les entendre s'énerver sa me fatigue ce qui fais que je n'ai même plus envie de les affronter mais bon je verrais au fur et a mesure des jours .. je laisse le vent me guider, plus rien me motive..j'espère sortir de la et de retrouver un sens, les motivations en gros le bonheur..
Merci je suis vraiment désolé pour le roman mais je ne savais pas comment faire
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Et avec ton amie, c’est un peu le même sujet, il y a un lien en tout cas : il semblerait qu’elle souhaitait garder une certaine exclusivité en tant qu’amie, alors que toi tu as envie d’élargir ton cercle d’amis, un peu comme si ton besoin d’oxygène était devenu plus grand dans tous les domaines de ta vie !
Tu ressens un manque du côté de ta maman, tu aurais aimé qu’elle soit plus complice avec toi au début de ton adolescence et c’est bien normal. L’adolescence vient réveiller chez les parents leur propre adolescence, et chacun a une histoire différente. Tu connais un peu celle de ta maman ? Tu aurais envie de lui demander comment ça s’est passé pour elle ? Ta petite sœur, elle a la chance d’avoir une grande sœur, qui peut lui donner conseil, c’est ce qu’elle a fait d’ailleurs.
Ne culpabilise pas d’avoir été surprise, ou incapable à ce moment là de lui répondre comme elle l’attendait. Tu n’as pas pu faire cette expérience toi même auparavant alors c’est nouveau pour toi, c’est l’inconnu. Mais la vie, c’est vivant, ce n’est pas figé comme une statue, alors tu peux agir, changer les choses ; profite aussi de la fratrie, propose à ta sœur de faire l’une ou l’autre chose ensemble, tu verras, la complicité ne demande qu’à être développée, c’est possible !
Enfin, par rapport à tes parents, et plus ton père si on a bien compris, nous te conseillons de choisir un moment tranquille, de les rassurer en leur disant que ton envie de sortir, de bouger, c’est pas pour faire des bêtises, demande leur de quoi ils ont peur, décidez ensemble une sorte de règle, d’arrangement qui à toi te donnera de l’autonomie et à eux un sentiment suffisant de sécurité. Si tu penses que c’est difficile ou trop tendu entre vous, tu peux proposer d’aller en médiation familiale, dans un planning familial par exemple ou un centre ou en privé. Ca vaut la peine, et nous sommes convaincus que des mots doivent être mis sur les maux des uns et des autres …
Bien sûr qu’il existe des personnes sur lesquelles tu vas pouvoir t’appuyer, elles existent, nous comprenons que c’est décourageant de ne pas les trouver si facilement, pourtant tiens bon, c’est important.
Nous sommes de tout cœur avec toi au quotidien, tu es importante pour nous, alors nous restons à ton écoute et t’envoyons d’ici là plein de pensées positives.
A tout bientôt,
L’équipe de Paroles d’ados.
Et avec ton amie, c’est un peu le même sujet, il y a un lien en tout cas : il semblerait qu’elle souhaitait garder une certaine exclusivité en tant qu’amie, alors que toi tu as envie d’élargir ton cercle d’amis, un peu comme si ton besoin d’oxygène était devenu plus grand dans tous les domaines de ta vie !
Tu ressens un manque du côté de ta maman, tu aurais aimé qu’elle soit plus complice avec toi au début de ton adolescence et c’est bien normal. L’adolescence vient réveiller chez les parents leur propre adolescence, et chacun a une histoire différente. Tu connais un peu celle de ta maman ? Tu aurais envie de lui demander comment ça s’est passé pour elle ? Ta petite sœur, elle a la chance d’avoir une grande sœur, qui peut lui donner conseil, c’est ce qu’elle a fait d’ailleurs.
Ne culpabilise pas d’avoir été surprise, ou incapable à ce moment là de lui répondre comme elle l’attendait. Tu n’as pas pu faire cette expérience toi même auparavant alors c’est nouveau pour toi, c’est l’inconnu. Mais la vie, c’est vivant, ce n’est pas figé comme une statue, alors tu peux agir, changer les choses ; profite aussi de la fratrie, propose à ta sœur de faire l’une ou l’autre chose ensemble, tu verras, la complicité ne demande qu’à être développée, c’est possible !
Enfin, par rapport à tes parents, et plus ton père si on a bien compris, nous te conseillons de choisir un moment tranquille, de les rassurer en leur disant que ton envie de sortir, de bouger, c’est pas pour faire des bêtises, demande leur de quoi ils ont peur, décidez ensemble une sorte de règle, d’arrangement qui à toi te donnera de l’autonomie et à eux un sentiment suffisant de sécurité. Si tu penses que c’est difficile ou trop tendu entre vous, tu peux proposer d’aller en médiation familiale, dans un planning familial par exemple ou un centre ou en privé. Ca vaut la peine, et nous sommes convaincus que des mots doivent être mis sur les maux des uns et des autres …
Bien sûr qu’il existe des personnes sur lesquelles tu vas pouvoir t’appuyer, elles existent, nous comprenons que c’est décourageant de ne pas les trouver si facilement, pourtant tiens bon, c’est important.
Nous sommes de tout cœur avec toi au quotidien, tu es importante pour nous, alors nous restons à ton écoute et t’envoyons d’ici là plein de pensées positives.
A tout bientôt,
L’équipe de Paroles d’ados.